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1925 - 1967
38,00
Présentation
Première présentation de l’ensemble des publications du Père Marie-Eugène (hors ouvrage Je veux voir Dieu), soit plus de 110 textes. Il rend accessible au plus grand nombre une nouvelle part, abondante, riche et prodigieusement actuelle, de l’enseignement du Bienheureux. L’ensemble permet de percevoir quelque chose de l’évolution et de la maturation de sa pensée. Une majorité de ces écrits ont été publiés dans des revues de spiritualité, notamment Carmel dont le P. Marie-Eugène a été le directeur de 1925 à 1928. Les autres sont des contributions à divers Congrès ou des écrits à visée pastorale. Un aperçu biographique est donné dans l’introduction ainsi que les indications permettant de comprendre la nature de cette édition : celle-ci ne prétend pas être une édition critique des écrits publiés du P. Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus ; elle permet cependant de retrouver l’intégralité des textes de l’auteur au plus proche de leurs particularismes d’origine. Le volume constitue un instrument unique pour mieux connaître, non seulement le Père Marie-Eugène lui-même, mais le Carmel dans toute sa richesse.
plus d'infos sur l'auteur:
Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus (Bienheureux)
Henri Grialou (1894-1967) Encore enfant, s’oriente vers le sacerdoce. Après la Première guerre mondiale où il expérimente la puissante protection de Thérèse de l’Enfant-Jésus, il reprend ses études au Séminaire de Rodez, y témoignant d’une profonde vie spirituelle. La découverte de saint Jean de la Croix lui révèle sa vocation au Carmel. Le 4 février 1922, il prend le nom de Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus. Son maître ouvrage, Je veux voir Dieu, nous livre sa propre expérience spirituelle. Appelé par Dieu à transmettre sa grâce, il fonde à Venasque (Vaucluse, France), en 1932, l’Institut séculier Notre-Dame de Vie dont les membres, laïcs et prêtres, veulent témoigner du Dieu vivant et le révéler aux hommes de notre temps. Son désir est d’ouvrir à tous les chrétiens, en plein monde et dans la vie ordinaire, les chemins de la contemplation et de la sainteté. Il passe sur l’autre rive de la Vie le 27 mars 1967, un lundi de Pâques, jour où lui-même aimait célébrer la joie pascale de Marie, Mère de Vie.