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Études bibliques
29,00
Présentation
Ce livre est une érudition linguistique et théologique au service du décryptage des textes de l’Ancien et du Nouveau Testament, pour en (re-)découvrir le sens caché, les correspondances et la richesse.
Ce quatrième volume des écrits du Père Michel De Goedt, en religion frère Michel-Marie de la Croix, regroupe des travaux et des réflexions sur la Parole de Dieu.
Carme déchaux, le Père Michel a suivi toute sa vie le précepte de la Règle du Carmel qui prescrit aux frères "de méditer jour et nuit la Parole de Dieu et de veiller dans la prière". Dès 1965, il publiait un article intitulé : "La Bible, Livre ouvert, Livre encore scellé ?" Il n'a cessé de poursuivre la réflexion et le travail pour entrer dans une compréhension plus profonde des Écritures. Il était habité par la question, si importante, de la relation entre les Écrits de la Première Alliance et ceux du Nouveau Testament, dans un souci d'ouverture et de dialogue.
Nous retrouvons ici 27 études du Père Michel dont 17 sont inédites. Une invitation à plonger dans les eaux vies de la Parole de Dieu pour vivifier notre foi.
Textes rassemblés et annotés par Didier-Marie Golay ocd et présentés par Yves Simoens sj
plus d'infos sur l'auteur:
De Goedt Michel
Le Père Michel De Goedt est né en 1924. Il est entré dans la Province de Paris de l'Ordre des carmes déchaux en 1941. Licencié en théologie (Rome) ainsi qu'en histoire et philologie orientales (Leuven), il a vécu en Terre Sainte de 1969 à 1980. Il est entré dans la Vie en 2009.
Auteur de l'Amité divine, l'Alliance irrévocable, La divinisation selon Jean de la Croix
Description
LA PRESSE EN PARLE :
Recenseur : Didier Luciani, Recension parue dans la NRT 145 / 2 (2023), page : 317
C’est une excellente initiative des éditions du Carmel que de re-publier la majorité des écrits du p. Michel de Goedt, o.c.d. (1924-2009) et spécialement, dans ce quatrième volume, de rassembler ses écrits bibliques. Un total de vingt-sept publications et travaux (de la simple note d’une page au manuscrit de plus de 100 pages) – quatorze déjà parus entre 1959 et 1994 (dans Revue biblique, New Testament Studies, Concilium, Cahiers Évangile, etc.), plus treize non datés et inédits – sont ainsi réunis et longuement présentés par son ami Yves Simoens (p. 9-22). D’un point de vue quantitatif, l’ensemble traite plutôt du Nouveau Testament (Mt, Jn, Ac, Rm, 1 Co, He, etc.) mais, comme y insiste d’emblée le jésuite Simoens, l’herméneutique biblique du carme se caractérise par un souci constant de ne jamais séparer l’Ancien et le Nouveau Testaments et d’éviter les pièges d’une théologie de la substitution. Les textes moins nombreux abordant explicitement cet aspect de l’unité des Écritures (voir, notamment, « Le Nouveau Testament ne nous permet pas de surplomber les Écritures », p. 35-39 ; et « La question d’un statut spécifique du Nouveau Testament comme Écriture se pose-t-elle ? », p. 41-44) sont donc à considérer comme fondamentaux et ils sont à lire à la lumière et dans le prolongement de ceux de l’A., déjà publiés dans le deuxième volume du corpus (L’Alliance irrévocable. Écrits sur le judaïsme, 2015) qui aborde plus spécifiquement la question du rapport entre Israël et les nations. Trois index (références bibliques, lieux et personnes) facilitent la consultation de l’ouvrage. — D.L.
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