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Pénétrer, approfondir, nourrir la vie intérieure. Tel est le propos de cette collection qui explore tous les chemins vers le trésor de l’âme. En suivant des guides expérimentés, elle indique écueils et oasis, éclaire dans les impasses, soutient dans les efforts...
Le Père prodigue
Référence : ELVI_PERE
Date de parution : 28.03.2025
Poids : 220 Gr.
Nb de Pages : 192
Disponible
Prix : 22,00 €
Présentation
Nous connaissons la magnifique parabole du fils prodigue, mais l’auteur en prolonge la lecture pour regarder le Père Prodigue qui s’y révèle: prodigue dans son amour fidèle pour nous, dans sa miséricorde infinie. Ce texte nous est montré comme étant la base même de notre foi, soulignant le fondement de notre existence naturelle et spirituelle. Un principe de vie pour nous, enfants de Dieu. L’inépuisable parabole du retour de l’enfant prodigue (Luc, chap. 15) résume à elle seule la nouveauté du Nouveau testament et la rédemption universelle que le Christ Jésus vient apporter à toute l’humanité. Ce texte constitue comme un sommet de la révélation divine, et de la paternité d’un Dieu qui ne cesse de vouloir nous prodiguer son Amour, sa miséricorde infinie. L’auteur en fait la lecture dans une perspective à la fois philosophique, théologique et mystique afin d’en mieux percevoir toute la richesse. La réflexion se déploie en effet sur le double plan de la foi et de l’anthropologie chrétienne, tant cette parabole est une synthèse de l’existence du Dieu biblique et de la relation qu’Il entretient de toute éternité avec les créatures humaines, avec chacun de nous. Nous pénétrons le mystère de l’Alliance, ancienne et nouvelle, don d’Amour donné, librement consenti, accueilli par la grâce. De la théologie? pas tant qu’une méditation pour retrouver avec gratitude la source de notre foi.
Cliquez sur ce lien pour écouter l'émission du Frère Jean-Gabriel au sujet du Père prodigue : Le Père prodigue, fidèle et miséricordieux - Radio Présence
Relue à l’aide de sainte Thérèse de Lisieux, la parabole du fils prodigue (cf. Lc 15, 11-32) nous enseigne que c’est vraiment Dieu qui est en fait le « Père prodigue ». Le père Rueg, carme de Toulouse, vient d’écrire un bel essai sur ce thème, il nous en fait ici une synthèse. par Fr. JEAN-GABRIEL RUEG, OCD «L’enfance spirituelle, c’est la conscience de la gratuité de la rédemption et la recherche de ce don comme gratuit », écrivait André Combes dans son Introduction à la spiritualité de sainte Thérèse de l’Enfant-Jé sus. Cette conscience a en partie motivé l’écri ture de cet ouvrage (1), qui se veut être « une lec ture thérésienne » de la parabole dite « du fils prodigue » dans le chapitre 15 de saint Luc. La conscience claire que tout, dans notre vie chré tienne, relève des libéralités d’un Dieu qui désire nous prodiguer gracieusement ses bienfaits. À commencer par sa création, dont Il est le Prin cipe. Le premier don que Dieu nous fait, c’est en effet « la grâce d’exister ». L’épître aux Romains (4, 17) rappelle que Dieu « appelle à l’existence ce qui n’existe pas », tandis que la métaphysique chrétienne atteste que le don de l’être constitue la première alliance où Dieu se dit. Car nous n’avons été créés, selon saint Jean de la Croix, que par et pour son Amour. La parabole du fils prodigue n’est donc pas à lire « comme une anecdote illustrative, mais comme une véritable fresque de l’histoire de l’humanité dans les heurs et malheurs de son alliance avec Dieu » (préface). Tout commence en effet par « le don de notre être », que Dieu nous fait, gratuitement, qui est marqué dans la parabole par « l’héritage », que le fils cadet vient réclamer à son père. Dans le texte original grec, saint Luc emploie le terme « ousia » pour cette « part d’héritage »; c’est ce même mot qu’emploie la philosophie grecque pour désigner ce qu’est une réalité, on dira une « substance » ou encore « une essence »; plus sim plement: « ce qui est ». Saint Thomas d’Aquin va pousser plus loin la réflexion en disant que toute réalité ontologique tire son existence, non d’elle même, mais de ce Dieu qui se présente à Moïse comme « Celui qui est » (Ex 3, 14): c’est là le seul nom qui n’altère pas son Mystère, mais nous dit qu’Il est la Source de tout ce qui est. Lui seul peut dire: « Je suis », sans aucune limitation d’être… Son Essence, c’est son Existence elle même, dira le Docteur angélique. Notre ousia n’existerait donc pas sans le Dieu créateur, puisque c’est Lui qui nous donne d’être ce que l’on est. En ce sens, on peut dire que « l’existence précède l’essence », une formule fameuse de l’exis tentialisme moderne, mais qu’il faut entendre d’une tout autre manière en philosophie chré tienne. Pour Sartre, je fais ce que je veux de mon existence, sans nulle autre contrainte que celle que fixe ma liberté, seule étoffe de mon être, et qui n’est tributaire ni d’aucun Dieu ni d’aucune nature humaine ou essence… Dans cette attitude, on veut tout tirer à partir de soi-même: on retrouve sans peine l’orgueil du premier péché qui a poussé l’homme à vouloir se suffire à lui-même, tout comme l’enfant prodigue à dilapider son héritage en oubliant son dona teur. Si Dieu nous fait « passer du néant à l’être », c’est pour que nous en disposions librement en harmonie avec son dessein d’amour et de sa gesse. Le Père, avant de pardonner, est celui qui donne sans compter… En son Fils, son Unique Parole, Il nous a tout donné, dira encore Jean de la Croix. Le Christ vient reprendre l’œuvre du Père pour la Lui réordonner. Jésus est le « Vrai fils aîné » de notre parabole: « tout ce qui est à moi est à toi », ce sont tout à la fois les mots du Christ en saint Jean et ceux du père de notre parabole à l’adresse de son fils aîné… Le Christ rend manifeste la tendresse infinie d’un Dieu toujours fidèle à Lui-même, à sa Promesse et à son Alliance. Il nous « prodigue » sans compter son Amour. Ce retour vers le Père ne peut cepen dant se faire sans notre consentement, et im plique notre conversion: « Si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux » (Mt 18, 3). Ce pendant, celle-ci relève encore de la miséricorde du Père. Si la Tradition parle de justification in térieure par la foi, c’est que cette vertu nous rend capables d’être transformés en Dieu par l’action de Son Esprit, qui, tel le feu, peut transformer toutes choses en lui-même, pour employer une image thérésienne tiré de son Acte d’offrande. Le désir et l’accueil du don Le cœur de l’homme est ainsi appelé à accepter librement le bonheur que Dieu lui offre et qui ne peut être que le fruit de Sa grâce. Le désir et l’ac cueil reconnaissant du don de Dieu seront donc les éléments humains privilégiés du dialogue. En effet, celui qui demande ou désire le salut sauve son âme; et cela vaut pour tous les hommes; il suffit ainsi d’un instant de désir, comme pour le criminel Pranzini, que la prière de Thérèse a sauvé, non de la guillotine, mais de l’impénitence finale et de l’enfer. « La plus grande menace pour l’homme est celui de perdre Dieu », déclarait Be noît XVI. La joie du Père relève de la conscience aiguë de ce risque: « Il fallait se réjouir, car ton frère était perdu, et le voici retrouvé. » Dieu, qui est riche en miséricorde, ne peut laisser l’homme au désespoir de la mort spiri tuelle. Il est le Père prodigue d’un Amour qui ne s’éteint jamais. Non seulement il pardonne, mais il se donne lui-même sans retour. La Petite Thé rèse est un témoin sûr de sa miséricorde. Elle a compris que toute notre vie dépendait de ce Père des Lumières de qui vient tout don parfait. Et que le seul chemin pour retourner vers Lui était de recevoir de Lui tout ce qui nous est nécessaire pour vivre. Comme des enfants… Pour cela, il nous faut entrer en nous-mêmes, dans cette vie spirituelle où il s’agit de demeurer avec le Christ, à l’instar du fils cadet de notre parabole, pour y percevoir la présence de ce « Père prodigue », qui n’a cessé de manifester Son Amour tout au long de son Alliance, et reste fidèle à l’éternel dessein de Sa providence et de Sa grâce. J.-G. R. ______________________________________________________________________
Bulletin de spiritualité monastique La parabole du fils prodigue nous fait comprendre comment Dieu, créateur de toute chose, est à la recherche de l’homme. J’ai lu Le Père prodigue, un petit essai thérésien qui apporte un éclairage nouveau sur la plus fameuse des paraboles de l’Évangile. Il existe des phrases qui en un instant nous transportent dans un univers plus vaste que le nôtre. Voici Jésus assis face à des pharisiens agités. Tout le monde parle en même temps, tout le monde veut argumenter. On se coupe la parole. On hausse le ton. Alors Jésus, les yeux baissés, murmure : « Un homme avait deux fils… » L’auditoire intrigué se tait. Et Jésus énonce à mi-voix les mots ineffaçables que depuis vingt siècles nous ne cessons de relire et de méditer : « Le plus jeune dit à son père : donne-moi la part d’héritage qui me revient. Et le père leur partagea ses biens » (Lc 15, 12). Ces mots ordinaires, sans le moindre adjectif, introduisent la plus belle page de la littérature mondiale. La parabole du fils prodigue fait du charpentier de Nazareth le plus grand écrivain parmi les enfants des hommes. Mais cela finalement n’est pas très important en comparaison de l’essentiel, qui est que cette allégorie improvisée devant des pharisiens acrimonieux, subtile dans sa psychologie et magnifique dans sa composition, nous éclaire sur le mystère de l’être et de la rédemption. Elle dit tout de notre condition de créatures sauvées par un Dieu d’amour. Notre condition de créatures sauvées par un Dieu d’amour est précisément au cœur de l’essai que frère Jean-Gabriel Rueg, prieur du couvent des carmes de Toulouse, vient de publier aux éditions du Carmel. Ce petit livre dense propose « une lecture thérésienne de la parabole du fils prodigue ». Derrière un titre paradoxal, Le Père prodigue, frère Jean-Gabriel offre une réflexion savante mais non pas absconse sur le mystère de l’être et le mystère de Dieu. La parabole du fils prodigue nous fait comprendre comment Dieu, créateur de toute chose, est à la recherche de l’homme. Il est le Père prodigue qui, au-delà de tous nos refus, destine sa création au bonheur. Il est le Père patient par qui tout est grâce. Il nous suffit, chose terriblement simple, de lui dire oui. Le texte, précédé d’une préface lumineuse de Mgr Jean-Pierre Batut, évêque auxiliaire de Toulouse, apporte un éclairage nouveau sur la plus fameuse des paraboles de l’Évangile, celle qui a inspiré tant d’artistes et de saints. Le livre fourmille de références, depuis les philosophes grecs jusqu’au théologien Ratzinger. Il ne nous épargne aucun effort. Il est assurément un livre à lire crayon à la main, tant il est riche. Il est exigeant. Pour un peu, l’ouvrage finirait par faire de nous, simples lecteurs, de vrais métaphysiciens. À un certain moment, m’est venue cette image : un jeune lecteur aborde le Christ. Il se jette à ses pieds et lui demande : « Bon maître, que dois-je faire pour être un bon théologien ? – Tu le sais, répond Jésus : n’oublie pas de prier et pense à relire Bergson et Maritain. – Bergson et Maritain, je les ai lus depuis ma jeunesse, dit le lecteur. – Une seule chose te manque : vends tes livres, résilie tes abonnements en ligne et donne l’argent au Secours catholique. Puis viens et suis-moi ». Alors le jeune lecteur s’en alla tout triste, car il possédait une vaste bibliothèque. Comme il est difficile à un théologien d’entrer dans le royaume de Dieu ! Je n’insiste pas. Le livre de Jean-Gabriel Rueg tient dans une poche de pantalon et il nous affermit dans notre foi : on peut suivre le Christ sans le quitter. Xavier Patier, Toulouse._________________________________________________________
REVUE NOVA & VETERA
Fr. Jean-Gabriel RUEG, O.C.D., Le Père prodigue, Dieu toujours fidèle, Une lecture théré-sienne de la parabole du fils prodigue, Vie intérieure 31, Éd. du Carmel, Toulouse, 2025, 188 p.
Le titre de l’ouvrage ne peut manquer d’interpeller le lecteur. Attribuer au père de la parabole évangélique le qualificatif du fils prévaricateur, c’est remonter à la source même de l’histoire du salut et en offrir une clé herméneutique. En effet, pour comprendre le dévoiement de la liberté du fils prodigue, il faut d’abord saisir la prodigalité du don du père. Aussi est-ce au prisme de la libéralité de Dieu que le Frère Jean-Gabriel Rueg, prieur du couvent des carmes de Toulouse, ressaisit en une synthèse puissante tout le dessein divin de création, de rédemption et de sanctification des hommes.
Le premier chapitre se présente comme une longue méditation métaphysique sur le don de l’existence, participation à l’être même de Dieu. Cette « grâce d’exister », selon la belle ex-pression de J. Ratzinger (p. 11), constitue la perfection première de toute créature, perfection que celle-ci est incapable de produire par elle-même, mais qu’elle reçoit de Dieu. Le don de l’acte d’être « manifeste la sublime libéralité d’amour de son Généreux Auteur tout autant que la formidable puissance créatrice d’un Amour divin et personnel » (p. 37). Ce prodigieux amour ne s’impose pas à la créature, mais s’offre à son libre acquiescement. C’est le drame du fils cadet de la parabole que de revendiquer pour lui sa part d’héritage (dans le texte grec : ousia, essence ou substance) en s’émancipant de sa dépendance ontologique et filiale, à l’instar de nos premiers parents au jardin d’Éden. Le chapitre 2 nous décrit la spirale destruc-trice du péché, nous rappelant le risque immense de la perdition éternelle. Il doit être lu à la lumière du chapitre suivant, consacré à la conversion, laquelle consiste avant tout à consentir à l’amour. Notre liberté ne s’épanouit que dans le bien, souligne l’A. : « Je suis vraiment libre et je décide de la plénitude de mon existence à partir du moment où je prends la décision d’adhérer au don de la grâce » (p. 80-81). Dès lors que l’âme s’ouvre à cette grâce, elle pro-duit les fruits des vertus théologales. Les chapitres 4 à 6 peuvent être rattachés respectivement à la foi, à la charité et à l’espérance. Par le don de la foi, nous sommes justifiés, c’est-à-dire que nous participons à la justice même de Dieu. Nous ne pouvons que nous disposer à ac-cueillir ce don immérité, si bien que dans cette œuvre de conversion du cœur éclatent tout ensemble la justice et la miséricorde divines – d’où l’image thérésienne de l’ascenseur pour monter jusqu’au ciel (p. 96). Par la charité, nous demeurons en Dieu, lui rendant amour pour amour et portant du fruit pour le salut des âmes. Par l’espérance, enfin, nous sommes préser-vés d’un triple écueil : le naturalisme, la mondanité spirituelle et l’autosuffisance d’un monde émancipé de Dieu, dont l’ultime avatar est le projet prométhéen du transhumanisme. Le der-nier chapitre est une invitation à « entrer en soi-même » pour y expérimenter la présence agis-sante de Dieu, à l’école de saint Thomas d’Aquin et des maîtres du Carmel. L’A. conclut en soulignant, avec celle qu’il se plaît à appeler « le plus jeune Docteur de l’Église », que c’est notre faiblesse reconnue qui attire la miséricorde, la « bienheureuse indigence » de la créature appelant les flots de la « sainte prodigalité divine » (p. 171).
Le présent ouvrage n’offre pas seulement un riche enseignement didactique, il nous presse encore d’entrer dans la voie d’enfance spirituelle. Qu’il nous soit permis de proposer trois étapes, relevées au fil de notre lecture, de cet itinéraire de l’âme : recevoir, consentir, rendre. Explicitons : recevoir d’un Autre l’existence (p. 26), le sens de sa vie (p. 104), l’amour comme un don (p. 106), le mérite (p. 136) ou la contemplation (p. 168) comme une grâce ; consentir au salut (p. 108), à l’amour transformant (p. 122), à l’emprise de l’Esprit (p. 158) ; rendre amour pour amour (p. 125-130), rendre grâce pour tout car en définitive « tout est grâce » (p. 94) : tout vient de Dieu et tout retourne à lui (p. 54). Et puisque « la suprême ac-tion de grâce consiste précisément à recevoir ses grâces » (p. 176), nous voilà entraînés dans le circuit dynamique de l’enfance spirituelle qui se nourrit du va-et-vient entre l’accueil et la gratitude.
De ce livre où se mêlent philosophie et cinéma, théologie et littérature, le lecteur fera son miel selon son inspiration personnelle. En témoignent la préface de Mgr Jean-Pierre Batut et la postface de Michel Nodé-Langlois, l’une et l’autre remarquables. À chacun de s’approprier cette ode à la libéralité de Dieu et d’y trouver un chemin de retour vers le Père prodigue.
Fr. Robert Augé O.S.B.
Référence : ELVI_QUATRE
Date de parution : 16.01.2025
Poids : 170 Gr.
Nb de Pages : 140
Disponible
Prix : 20,00 €
Présentation
Une lecture originale du Livre des Demeures de Thérèse d’Avila. L’auteur propose quatre parcours différents, comme autant de manières d’avancer dans sa vie spirituelle pour redécouvrir en profondeur ce qui fait notre vraie humanité. Une lecture accessible pour mieux comprendre le projet de Dieu sur chacun.
Cet ouvrage propose 4 parcours des Demeures de sainte Thérèse, avec chaque fois une perspective différente. Le premier considère comment Dieu prépare et cultive le jardin où il habite. Le second s’attache à la transformation radicale que Dieu nous offre. Le troisième suit Thérèse dans tout le parcours amoureux vers le mariage qu’elle nous fait suivre de Demeures en Demeures. Et le dernier est attentif au cheminement des Demeures comme une naissance et une progression de la charité dans notre cœur. Un livre simple et très pédagogique, qui aborde chemin faisant des thématiques qui permettent de mieux comprendre ce qu’est une personne et ce que Dieu veut pour elle.
Bulletin de spiritualité monastique : juillet 2025
Dans une approche pédagogique et très accessible (y compris à qui connaît mal l’œuvre de Thérèse d’Avila), l’A., carme déchaux de la Province Avignon Aquitaine, actuellement prieur au Sénégal, aborde les grands piliers de la spiritualité thérésienne et du chemin vers Dieu qu’elle propose. L’approche est à la fois classique et originale, n’hésitant pas à emprunter à Kafka une analogie et une approche permettant de rendre plus accessible à nos contemporains le langage et les références de celle qui fut, au XVI e siècle, la grande réformatrice du Carmel. Car, si l’œuvre de la sainte est au cœur de cet ouvrage, les liens sont nombreux, avec des figures classiques de la spiritualité et de la théologie chrétiennes (comme Augustin et Thomas d’Aquin), avec des documents du Magistère, notamment ceux émanant de Vatican II , mais aussi avec des auteurs contemporains, poète comme Pessoa, ou auteurs de sciences humaines. Le propos du livre n’est en effet pas une exégèse de l’œuvre, mais bien de donner des clés pour en marquer l’actualité dans la vie de tous. Il encourage ainsi chacun à oser, « accepter, choisir de laisser Dieu faire » (p. 60) alors que notre incapacité à imaginer ce que nous allons trouver risque de ne pas oser cet abandon entre les mains de l’amour de Dieu. Avec pédagogie et douceur, l’auteur ne manque pas de mettre le doigt sur les courantes mécompréhensions qui entourent l’idée d’oraison et de mariage spirituel. Ainsi souligne-t-il combien « la vie que Dieu eut pour nous n’est pas une vie de tension et d’effort, de « sacrifices » au sens d’actes qui nous pèsent et sont difficiles ; mais c’est une vie où tout est motivé par l’amour » (p. 116). Évidemment, cela ne dispense pas de l’ascèse nécessaire à toute suite du Christ, mais certains travers de la spiritualité des sacrifices sont ainsi évités, notamment parce qu’elle risque toujours de nous faire oublier que la grâce (par nature gracieuse) est au cœur de nos vies. L’accent peut ainsi être mis sur la transformation intérieure que connaît l’homme d’oraison, plutôt qu’une contraction sur la rectitude de son agir. Bien sûr, l’A. n’omet pas l’importance de la persévérance, mais la persévérance dont il est question sous sa plume est bien « la persévérance dans les efforts pour répondre concrètement à l’amour de Jésus » (p. 121). La nuance est de taille : pour répondre, il faut avoir accepté de recevoir ! Carme, donc vivant en communauté, l’A. ne manque pas de mettre le doigt sur les courantes mécompréhensions qui entourent l’idée d’oraison et de mariage spirituel… et qui peuvent parfois se traduire par des petites aspérités dans la vie commune ! Au-delà de ces passages qui ne manqueront pas d’interpeller toute personne consacrée, la pédagogie du livre et sa concision lui permettent de s’adresser à chacun, quel que soit son état de vie. Élise-Mariette Langelier, Échourgnac, ocso
Référence : ELVI_JESUS
Date de parution : 31.01.2024
Poids : 154 Gr.
Nb de Pages : 140
Disponible
Prix : 21,00 €
Présentation
« Jésus est si fatigué ! ses pieds se sont lassés de poursuivre les pécheurs et il n’a que [mon] cœur pour se reposer ». A partir de cette intuition de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, l’auteur à travers 14 stations revisitées, invite le lecteur à respecter et soulager la fatigue de Jésus, même si c’est au prix d’absence de consolations ».
L'auteur, en contemplant chaque station du Chemin de croix, m'invite à respecter et soulager la fatigue de Jésus, en partageant sa Croix, à travers le souci des âmes et la charité envers mes frères souffrants...à la suite de Véronique et de Simon de Cyrène.
https://www.la-croix.com/religion/un-chemin-de-croix-pour-soulager-la-fatigue-du-christ-20240328
Référence : ELVI_BLAISE
Date de parution : 15.03.2023
Poids : 273 Gr.
Nb de Pages : 224
Disponible
Prix : 21,00 €
Présentation
Après le "feu" de sa conversion, Pascal veut convaincre et transmettre : il explique au lecteur comment purifier son coeur pour avoir une vraie connaissance de Jésus-Christ. Recevoir la grâce est à la portée de tous ceux disposés à croire.
Tout parle de Dieu pour celui qui est disposé à croire. Pascal veut ainsi proposer une préparation du coeur à la grâce, accessible à tous : d'abord déraciner les préjugés en montrant la capacité de la raison à se hisser au niveau des choses de Dieu, et ensuite extirper du coeur les mauvaises inclinations, tournée sur l'amour de soi, qui empêchent d'accéder au coeur de Dieu.L'intimité avec Dieu procure ensuite paix et joie, mais avec une inquiétude résiduelle. Sur ce point, Pascal nous rappelle qu'existe une version biblique, et chrétienne, de l'inquiétude: la crainte - non seulement crainte révérencieuse de la majesté de Dieu, mais aussi crainte de perdre Celui qu'on a trouvé. En rejetant définitivement l'attitude tranquille de celui qui se croit déjà sauvé, Pascal pose comme seule valeur possible l'Espérance, qui permet d'atteindre le point juste entre certitude de l'amour de Dieu et incertitude de la réponse de l'homme.
Référence : ELVI_HABITERFACE
Date de parution : 16.11.2022
Poids : 220 Gr.
Nb de Pages : 192
Provisoirement indisponible
Prix : 22,00 €
Présentation
Ô mon Dieu, Trinité que j'adore...
Cette prière d'Élisabeth de la Trinité, canonisée en 2016, a fait le tour du monde. Synthèse et sommet de son expérience trinitaire, elle révèle la richesse de sa spiritualité, mûrie depuis sa vie dans le monde jusqu'au secret du cloître. L'auteur ne retrace pas ici la vie de la Sainte : il la laisse parler, dans le secret du face-à-face avec "ses Trois". En bibliste exercé, il nous révèle l'esprit contemplatif de la jeune carmélite à partir des méditations bibliques - notamment saint Paul - qui l'ont nourri. Il explore la profondeur du langage, où s'exprime l'épouse amoureuse, mais aussi l'artiste sensible : les symboles fondamentaux de la maison, du foyer, de l'être habité se mêlent aux métaphores du visage, de la lumière, de la sponsalité et de la nuit. Se déploie alors cette prière adorante, "petit chef-d'oeuvre de la contemplation", comme une invitation à "habiter la maison de ce Dieu qui habite en nous, au centre de nous-mêmes".
Référence : ELVI_MEDAILLONS
Date de parution : 02.03.2022
Poids : 143 Gr.
Nb de Pages : 120
Disponible
Prix : 14,90 €
Présentation
Un chemin de Croix médité, qui ancre la contemplation dans le décryptage d'un guide spécialiste du Mystère pascal.
Contempler chaque étape de la Passion du Christ en creusant tout son sens théologal : c'est ce que propose l'auteur, grand spécialiste du Mystère pascal. Il nous fait découvrir la dimension toute divine présente déjà au coeur de la souffrance du Fils, dans son obéissance filiale au Père. Le lecteur pénètre ainsi peu à peu le sens et la grandeur du parcours pascal de Jésus, pour mieux méditer les fruits dans sa vie de croyant.
Voici une haute nourriture spirituelle pour le Carême,
un parcours méditatif original,
une solide réflexion théologique pour mieux comprendre le Mystère pascal.
Référence : ELVI_JALONS
Date de parution : 23.06.2021
Poids : 264 Gr.
Nb de Pages : 216
Disponible
Prix : 16,00 €
Présentation
Ce livre est "un trésor spirituel". Il transmet le témoignage de deux femmes aux cheminements différents mais profondément encourageants, Claire et Petra. Chacune rend grâce d'avoir été conduite à la plénitude de l'union avec Dieu. Soeur Rachel du Saint-Esprit (alias Ruth Burrows) nous partage le fruit de leurs échanges avec l'assurance et la puissance de conviction que l'on avait déjà pu découvrir dans le récit de sa vie Face au Dieu vivant (Éd. du Carmel).
La valeur unique de ses propos tient d'abord à la singularité de l'expérience de Petra : alors que Thérèse d'Avila et Jean de la Croix décrivent le mariage spirituel comme précédé et accompagné de faveurs mystiques exceptionnelles, Petra déclare n'en avoir jamais bénéficié. Elle est toujours demeurée dans l'aridité et l'obscurité - expérience proche de celle de Thérèse de Lisieux.
A cet égard, Ruth Burrows déclare que sa pensée doit beaucoup au témoignage de la Petite Sainte, conduite à cette parfaite union d'amour avec Dieu en l'absence presque totale des faveurs mystiques, mais dont la voie d'enfance spirituelle est profondément mystique, au sens où elle est en communion au mystère de Jésus, abandonné comme un enfant à son Père, et crucifié par amour.
"Par cet ouvrage publié en 1976, un an après Face au Dieu vivant, et par la douzaine d'autres qui l'ont suivi, elle a touché le coeur et éclairé le cheminement spirituel d'un très grand nombre de lecteurs anglophones. Sa traduction en français est un profond motif de joie. (J.B. Lecuit)
"L'auteure n'hésitant pas, dans cet essai sur la vie spirituelle, à exposer ses vues personnelles sur son ordre et faisant de sa tradition une relecture actuelle qui ne se veut pas une remise en cause mais, bien au contraire, une tentative d'en exposer les richesses à un lecteur du XXIème siècle avec réalisme et vérité." (Lettre de Ligugé - Octobre 2021)
Référence : ELVI_SILEN
Date de parution : 02.12.2020
Poids : 386 Gr.
Nb de Pages : 285
Disponible
Prix : 25,00 €
Présentation
"Que de bruit dans le monde ! Apprenons à rester en silence devant nous-même et devant Dieu." (Pape François)
Le silence se pratique comme un art. Telle est la proposition originale à laquelle nous convie l'auteur dans ce parcours en trois temps, par de courtes méditations, des conseils pratiques illustrés par des textes de spiritualité et accompagnés par la contempation d'oeuvres d'art.
Le lecteur apprend d'abord à décrypter d'étape en étape les différentes tonalités de silence. Puis par "La danse du Silence", l'âme entre dans un mouvement de guérison et de libération intérieures à la rencontre de Dieu. Dans "La musique du Silence", guidée par le Christ et Marie, elle peut ainsi établir un véritable mode de vie spirituelle.
A travers ce manuel, c'est toute notre personne qui s'engage à la suite de Marie, pour vivre pleinement la fécondité du silence intérieur.
Référence : ELVI_MARIBIB
Date de parution : 24.11.2018
Poids : 207 Gr.
Nb de Pages : 140
Disponible
Prix : 17,50 €
Présentation
Dans la Bible tout commence et finit avec Marie. Dès les premières pages, la Genèse parle de "la mère de tous les vivants" et dans l'Apocalypse apparaît la Femme qui triomphe du dragon. L'Ancien Testament se révèle dans le Nouveau : Ève renvoie à Marie comme Adam renvoie au Christ "le nouvel Adam". "Qui a des oreilles pour entendre", n'écoute jamais longtemps la parole de Dieu sans y rencontrer Marie.
L'Église a toujours donné à Marie une place particulière. Elle est un membre absolument unique de l'Église, dit le Concile Vatican II. Laissons lui remplir dans nos vies, la mission de mère pour laquelle Dieu l'a choisie de toute éternité.
Référence : ELVI_NEWMAN
Date de parution : 25.08.2010
Poids : 150 Gr.
Nb de Pages : 103
Disponible
Prix : 13,00 €
Présentation
Ce livre évoque avec beaucoup de sensibilité l’itinéraire douloureux qui conduisit John-Henry Newman, membre du mouvement d’Oxford (anglicanisme), à rejoindre l’Église catholique en 1845. L’auteur, en relisant les textes du bienheureux, trace les voies d’un chemin spirituel authentique, en résonance avec la doctrine mystique de saint Jean de la Croix.
Référence : ELVI_ART
Date de parution : 01.01.2009
Poids : 180 Gr.
Nb de Pages : 127
Disponible
Prix : 15,00 €
Présentation
L'entretien avec Mireille Nègre - danseuse dont l'art est tout entier porté par une vie tournée vers l'Absolu - nous entraîne dans une aventure humaine et spirituelle, sur les chemins de l'alliance de l'art et de la vie.
Référence : ELVI_VIVRE
Date de parution : 05.03.2013
Poids : 385 Gr.
Nb de Pages : 286
Disponible
Prix : 23,00 €
Présentation
Saint Jean-Paul II qui portait sur lui la devise montfortaine « tout à toi Marie », a remis en avant la figure de saint Louis-Marie Grignion de Montfort. Ce saint du XVIIIème siècle a en effet beaucoup à dire à l’homme moderne, au chrétien avide de renouveler sa vie dans l’Esprit. Il nous introduit dans le cœur de la vie chrétienne : Dieu est passé par Marie pour se faire homme. Alors passons par Marie pour vivre pleinement en Dieu !
Référence : ELVI_NORW
Date de parution : 05.01.2007
Poids : 200 Gr.
Nb de Pages : 152
Disponible
Prix : 19,00 €
Présentation
Une merveilleuse introduction à l'oeuvre lumineuse de la célèbre mystique recluse de la ville de Norwich. Ce livre nous présente les 16 Visions de la Passion du Christ dont Julienne bénéficia au cours de sa vie et qui fondèrent toute sa spiritualité. Une mystique formidablement optimiste, qui contemple toute la Révélation chrétienne comme un don gracieux que Dieu veut nous faire de son Amour miséricordieux.
Référence : ELVI_NUIT
Date de parution : 05.02.2019
Poids : 200 Gr.
Nb de Pages : 120
Disponible
Prix : 15,50 €
Présentation
La réédition attendue du magnifique livre du P.Wilfrid Stinissen : une lecture moderne de La Nuit Obscure de saint Jean de la Croix.
La nuit obscure est une étape ineluctable sur le chemin qui mène à Dieu. Lorsqu'on prend sa foi au sérieux, on doit tôt ou tard la traverser. Saint Jean de la Croix est universellement reconnu comme un guide expérimenté dans les nuits mystiques. Pour cette raison, son enseignement demeure toujours actuel. Il nous explique pourquoi, à un moment précis de notre cheminement, tout semble aller à rebours de la rencontre avec Dieu, et comment toute situation peut devenir lieu de résurrection.
Vécue dans la foi, la nuit obscure est en fait un chemin de lumière. Il faut savoir où elle nous conduit pour en saisir le sens.
Marie et l'Esprit - Au coeur de la vie spirituelle
Référence : ELVI_MARIE
Date de parution : 05.02.2005
Poids : 710 Gr.
Nb de Pages : 120
Disponible
Prix : 13,00 €
Présentation
Cet essai sur Marie est un livre nourri de la contemplation de l'auteur et de sa longue expérience dans l'accompagnement spirituel. il met le lecteur en face du cheminement spirituel de Marie. S'appuyant sur de nombreux textes bibliques, il les met en résonance le uns avec les autres, pour en dégager, dans la plus pure tradition patristique, une route juste qui conduit dans les profondeurs du mystère. Cette route rejoint celle qu'ont ouverte de nos jours les enseignements du Concile Vatican II et des derniers Papes, en particulier de Jean-Paul II dans sa Lettre sur le Rosaire.
Le feu de charité - Jeanne d'Arc, mystique et martyre
Référence : ELVI_FEU
Date de parution : 01.06.2001
Poids : 325 Gr.
Nb de Pages : 239
Disponible
Prix : 19,00 €
Présentation
C'est la sainte, mystique autant que martyre, qui apparaît au fil de ces pages. L’auteur est soucieux de transmettre, en plus d'une connaissance des faits historiques, la flamme ardente de la charité qui animait le cœur de Jeanne d'Arc.
Référence : ELVI_SOIR
Date de parution : .-1.08-0
Poids : 195 Gr.
Nb de Pages : 133
Disponible
Prix : 14,00 €
Présentation
Le temps nous appelle à la vie, il nous fait vivre, puis nous fait mourir. Quel est le sens du temps qui enveloppe l'homme comme l'atmosphère entoure la terre ? Le temps insaisissable est-il un fleuve qui s'écoule inexorablement ou est-il la lampe qui peu à peu dévoile et illumine ? Scrutant l'énigme du temps, l'auteur nous propose une méditation parcourant la Bible, de la Genèse à l'Apocalypse. En sept chapitres - les récits de Création, les patriarches, Jésus le Messie, le huitième jour, vivre l'instant présent, l'eschatologie, vivre du soir au matin - il nous invite à reconsidérer tout notre rapport au temps...
Référence : ELVI_ETERNITE
Date de parution : ---
Poids : 276 Gr.
Nb de Pages : 197
Disponible
Prix : 17,00 €
Présentation
Le temps nous est familier et nous ne pouvons pas concevoir notre existence sans lui. Et pourtant, dès que nous essayons d'approfondir ce qu'est le temps, nous nous retrouvons en plein mystère. Le but de cet ouvrage n'est pas d'expliquer ce mystère mais de montrer qu'il est encore plus grand que ce que nous pensons puisqu'il est enveloppé de la présence éternelle de Dieu.
On vous en parle : MEDITATIO avec Prénom Marlène
“LA PRIÈRE CONTEMPLATIVE, VOIE ROYALE VERS DIEU” par Prénom Marlène
Référence : ELVI_LETTRES
Date de parution : 04.03.2006
Poids : 450 Gr.
Nb de Pages : 380
Disponible
Prix : 23,00 €
Présentation
Découvrons, à travers sa correspondance, la riche personnalité de Robert de Langeac. Apprécions la grande valeur de ce prêtre théologien, mystique et psychologue averti.
Référence : ELVI_LUMINEUSE
Date de parution : 31.01.2018
Poids : 278 Gr.
Nb de Pages : 197
Disponible
Prix : 19,00 €
Présentation
Comment cultiver cette lumineuse absence où la présence de Dieu est expérimentée dans le centre le plus intime de nous-même ? Quelles que soient les difficultés que nous éprouvons dans la prière - ennui, colère, peine, inquiétude - ce sont moins des difficultés à surmonter que des occasions de pratiquer l'abandon. S'appuyant sur la sagesse des grands contemplatifs tels que saint Augustin ou sainte Thérèse d'Avila, l'auteur nous montre comment découvrir dans la profondeur de notre être, ce trésor caché de la présence de Dieu.