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votre recherche : Jean-gabriel
La petite voie de Thérèse de l'Enfant-Jésus
Référence : EL_RET_VOITHE
Date de parution : 20.06.2020
Poids : 181 Gr.
Nb de Pages : 208
Disponible
Prix : 16,90 €
Présentation
Cet ouvrage nous invite avec Thérèse à contempler le Mystère de la naissance de Dieu parmi nous et à accueillir la grâce pour nous laisser enseigner et grandir dans la foi. Une main dans celle de Thérèse et l'autre dans celle de Marie, prenons cette petite voie et redécouvrons la miséricorde divine dans notre vie.
La collection "Retraite spirituelle" est un compagnon pour les temps de retraite personnelle. Chaque ouvrage est donc structuré comme une retraite de 5 à 7 jours, avec 2 enseignements par jour.
"Thérèse est une "petite" sainte, mais Docteur de l'Église. Et sa doctrine, celle de l'Enfance spirituelle est toute simple, accessible à tous : Dieu se révèle aux plus petits pour nous faire monter jusqu'à Lui. Cet ouvrage invite à contempler avec Thérèse le Mystère de la naissance de Dieu parmi nous et à accueillir la grâce pour nous laisser enseigner et grandir dans la foi."
Le Père Jean-Gabriel Rueg est carme. Grand amoureux de la petite Thérèse, il prêche beaucoup sur la petite voie et en est un grand propagateur aurpsè de différents groupes de laïcs.(Les amis des Monastères)
Emission RADIO PRESENCE Septembre 2024 : https://www.radiopresence.com/emissions/foi/vie-de-l-eglise/vivante-eglise/article/qu-est-ce-que-la-petite-voie-de-sainte-therese
Référence : ELVI_PERE
Date de parution : 28.03.2025
Poids : 220 Gr.
Nb de Pages : 168
Disponible
Prix : 22,00 €
Présentation
Nous connaissons la magnifique parabole du fils prodigue, mais l’auteur en prolonge la lecture pour regarder le Père Prodigue qui s’y révèle: prodigue dans son amour fidèle pour nous, dans sa miséricorde infinie. Ce texte nous est montré comme étant la base même de notre foi, soulignant le fondement de notre existence naturelle et spirituelle. Un principe de vie pour nous, enfants de Dieu. L’inépuisable parabole du retour de l’enfant prodigue (Luc, chap. 15) résume à elle seule la nouveauté du Nouveau testament et la rédemption universelle que le Christ Jésus vient apporter à toute l’humanité. Ce texte constitue comme un sommet de la révélation divine, et de la paternité d’un Dieu qui ne cesse de vouloir nous prodiguer son Amour, sa miséricorde infinie. L’auteur en fait la lecture dans une perspective à la fois philosophique, théologique et mystique afin d’en mieux percevoir toute la richesse. La réflexion se déploie en effet sur le double plan de la foi et de l’anthropologie chrétienne, tant cette parabole est une synthèse de l’existence du Dieu biblique et de la relation qu’Il entretient de toute éternité avec les créatures humaines, avec chacun de nous. Nous pénétrons le mystère de l’Alliance, ancienne et nouvelle, don d’Amour donné, librement consenti, accueilli par la grâce. De la théologie? pas tant qu’une méditation pour retrouver avec gratitude la source de notre foi.
Cliquez sur ce lien pour écouter l'émission du Frère Jean-Gabriel au sujet du Père prodigue : Le Père prodigue, fidèle et miséricordieux - Radio Présence
Relue à l’aide de sainte Thérèse de Lisieux, la parabole du fils prodigue (cf. Lc 15, 11-32) nous enseigne que c’est vraiment Dieu qui est en fait le « Père prodigue ». Le père Rueg, carme de Toulouse, vient d’écrire un bel essai sur ce thème, il nous en fait ici une synthèse. par Fr. JEAN-GABRIEL RUEG, OCD «L’enfance spirituelle, c’est la conscience de la gratuité de la rédemption et la recherche de ce don comme gratuit », écrivait André Combes dans son Introduction à la spiritualité de sainte Thérèse de l’Enfant-Jé sus. Cette conscience a en partie motivé l’écri ture de cet ouvrage (1), qui se veut être « une lec ture thérésienne » de la parabole dite « du fils prodigue » dans le chapitre 15 de saint Luc. La conscience claire que tout, dans notre vie chré tienne, relève des libéralités d’un Dieu qui désire nous prodiguer gracieusement ses bienfaits. À commencer par sa création, dont Il est le Prin cipe. Le premier don que Dieu nous fait, c’est en effet « la grâce d’exister ». L’épître aux Romains (4, 17) rappelle que Dieu « appelle à l’existence ce qui n’existe pas », tandis que la métaphysique chrétienne atteste que le don de l’être constitue la première alliance où Dieu se dit. Car nous n’avons été créés, selon saint Jean de la Croix, que par et pour son Amour. La parabole du fils prodigue n’est donc pas à lire « comme une anecdote illustrative, mais comme une véritable fresque de l’histoire de l’humanité dans les heurs et malheurs de son alliance avec Dieu » (préface). Tout commence en effet par « le don de notre être », que Dieu nous fait, gratuitement, qui est marqué dans la parabole par « l’héritage », que le fils cadet vient réclamer à son père. Dans le texte original grec, saint Luc emploie le terme « ousia » pour cette « part d’héritage »; c’est ce même mot qu’emploie la philosophie grecque pour désigner ce qu’est une réalité, on dira une « substance » ou encore « une essence »; plus sim plement: « ce qui est ». Saint Thomas d’Aquin va pousser plus loin la réflexion en disant que toute réalité ontologique tire son existence, non d’elle même, mais de ce Dieu qui se présente à Moïse comme « Celui qui est » (Ex 3, 14): c’est là le seul nom qui n’altère pas son Mystère, mais nous dit qu’Il est la Source de tout ce qui est. Lui seul peut dire: « Je suis », sans aucune limitation d’être… Son Essence, c’est son Existence elle même, dira le Docteur angélique. Notre ousia n’existerait donc pas sans le Dieu créateur, puisque c’est Lui qui nous donne d’être ce que l’on est. En ce sens, on peut dire que « l’existence précède l’essence », une formule fameuse de l’exis tentialisme moderne, mais qu’il faut entendre d’une tout autre manière en philosophie chré tienne. Pour Sartre, je fais ce que je veux de mon existence, sans nulle autre contrainte que celle que fixe ma liberté, seule étoffe de mon être, et qui n’est tributaire ni d’aucun Dieu ni d’aucune nature humaine ou essence… Dans cette attitude, on veut tout tirer à partir de soi-même: on retrouve sans peine l’orgueil du premier péché qui a poussé l’homme à vouloir se suffire à lui-même, tout comme l’enfant prodigue à dilapider son héritage en oubliant son dona teur. Si Dieu nous fait « passer du néant à l’être », c’est pour que nous en disposions librement en harmonie avec son dessein d’amour et de sa gesse. Le Père, avant de pardonner, est celui qui donne sans compter… En son Fils, son Unique Parole, Il nous a tout donné, dira encore Jean de la Croix. Le Christ vient reprendre l’œuvre du Père pour la Lui réordonner. Jésus est le « Vrai fils aîné » de notre parabole: « tout ce qui est à moi est à toi », ce sont tout à la fois les mots du Christ en saint Jean et ceux du père de notre parabole à l’adresse de son fils aîné… Le Christ rend manifeste la tendresse infinie d’un Dieu toujours fidèle à Lui-même, à sa Promesse et à son Alliance. Il nous « prodigue » sans compter son Amour. Ce retour vers le Père ne peut cepen dant se faire sans notre consentement, et im plique notre conversion: « Si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux » (Mt 18, 3). Ce pendant, celle-ci relève encore de la miséricorde du Père. Si la Tradition parle de justification in térieure par la foi, c’est que cette vertu nous rend capables d’être transformés en Dieu par l’action de Son Esprit, qui, tel le feu, peut transformer toutes choses en lui-même, pour employer une image thérésienne tiré de son Acte d’offrande. Le désir et l’accueil du don Le cœur de l’homme est ainsi appelé à accepter librement le bonheur que Dieu lui offre et qui ne peut être que le fruit de Sa grâce. Le désir et l’ac cueil reconnaissant du don de Dieu seront donc les éléments humains privilégiés du dialogue. En effet, celui qui demande ou désire le salut sauve son âme; et cela vaut pour tous les hommes; il suffit ainsi d’un instant de désir, comme pour le criminel Pranzini, que la prière de Thérèse a sauvé, non de la guillotine, mais de l’impénitence finale et de l’enfer. « La plus grande menace pour l’homme est celui de perdre Dieu », déclarait Be noît XVI. La joie du Père relève de la conscience aiguë de ce risque: « Il fallait se réjouir, car ton frère était perdu, et le voici retrouvé. » Dieu, qui est riche en miséricorde, ne peut laisser l’homme au désespoir de la mort spiri tuelle. Il est le Père prodigue d’un Amour qui ne s’éteint jamais. Non seulement il pardonne, mais il se donne lui-même sans retour. La Petite Thé rèse est un témoin sûr de sa miséricorde. Elle a compris que toute notre vie dépendait de ce Père des Lumières de qui vient tout don parfait. Et que le seul chemin pour retourner vers Lui était de recevoir de Lui tout ce qui nous est nécessaire pour vivre. Comme des enfants… Pour cela, il nous faut entrer en nous-mêmes, dans cette vie spirituelle où il s’agit de demeurer avec le Christ, à l’instar du fils cadet de notre parabole, pour y percevoir la présence de ce « Père prodigue », qui n’a cessé de manifester Son Amour tout au long de son Alliance, et reste fidèle à l’éternel dessein de Sa providence et de Sa grâce. J.-G. R.
Référence : EL_VF_ELOGE
Date de parution : 21.06.2023
Poids : 135 Gr.
Nb de Pages : 132
Disponible
Prix : 12,00 €
Présentation
Le livre oriente tout d’abord le lecteur vers l’adoration du mystère de Dieu, qui est au fondement même de la prière, car sans elle, « l’homme ne peut s’établir dans la vérité de son être ». Le livre fait ensuite droit à l’anthropologie chrétienne en situant l’homme dans la création de Dieu, intendant d’un mystère qui le dépasse, mais capable d’entrer en relation avec Dieu de par sa nature rationnelle. Il nous introduit dans un autre mystère, celui du Mal, par une lecture théologique des Premiers chapitres de la Genèse. La prière chrétienne permet de renouer avec Dieu dans une relation filiale retrouvée qui nous restitue le vrai regard de Dieu : un regard de Père… Elle n’est chrétienne que lorsqu’elle se laisse investir par l’Esprit du Christ en vue d’une relation d’amour personnelle et féconde avec Dieu. L’oraison se fait contemplative lorsque Dieu agit en nous. La prière est au cœur de l’Eglise
Référence : EL_VF_QUES_ORA
Date de parution : 23.06.2016
Poids : 66 Gr.
Nb de Pages : 60
Disponible
Prix : 6,00 €
Présentation
L'oraison est-elle une forme particulière de prière ? Demande-t-elle un apprentissage ? Sans prétendre à l'exhaustivité, ce livre reprend les points essentiels de la pratique de l'oraison.
Référence : L901002
Date de parution : 01.02.2022
Poids : 671 Gr.
Nb de Pages : 267
Disponible
Prix : 19,90 €
Présentation
Chef-d’œuvre de la spiritualité, ce livre rassemble les trois manuscrits autobiographiques de sainte Thérèse de Lisieux (1873-1897) et son acte d'offrande à l'Amour miséricordieux, magnifique synthèse de sa doctrine. Dans les manuscrits autobiographiques, la religieuse carmélite raconte sa vie, tout en déployant une théologie qu'on appellera celle de la "petite voie". Ce texte a eu une immense influence spirituelle et peut encore aider nombre de personnes à entrer dans une relation filiale avec Dieu, relation faite de confiance, d'humilité et d'amour.
Référence : L901039
Date de parution : ---
Poids : 250 Gr.
Nb de Pages : 127
Disponible
Prix : 15,00 €
Présentation
Comme une rose effeuillée est un florilège de textes de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus. En introduction, le père Jean Gabriel Rueg retrace les grandes lignes d'une spiritualité authentiquement chrétienne qui n'en finit pas de se répandre dans le monde,