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Nouvelle édition des Premiers pas de l'Enfant-Dieu. "Regarder l'Enfant-Jésus éclaire. Dans l'impuissance, il y a tout l'horizon de la divinité, de l'infini." Le bienheureux Marie-Eugène nous livre le fruit de sa méditation de l'Évangile. Il contemple le mystère du Fils de Dieu fait homme. Mystère de joie qui révèle la vocation divine de toute personne ; mystère d'abaissement qui encourage et entraîne car la pauvreté attire les débordements de la miséricorde.

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 Une manière tout à fait originale d’aborder la spiritualité de Thérèse de Lisieux, et en (re-)découvrir la sagesse intime. Comment son credo et la Petite Voie se révèlent aussi à travers une vingtaine de façons différentes de signer. Par un spécialiste de la Sainte. Après avoir glané dans les écrits de Thérèse (Lettres, Poèmes et Prières) les diverses manières de signer ses textes – plus d’une trentaine! –, l’auteur les regroupe par genre et donne ainsi un éclairage inédit sur le message de Thérèse. Il revisite son lien à sa sainte patronne Thérèse d’Avila, sa relation à l’Enfant Jésus et au mystère de son Incarnation. Il examine ensuite la relation à la Passion et la mort de Jésus en lien avec le mystère de la Sainte Face. Il étudie sa manière de présenter les deux mystères de l’Incarnation et de la Passion dans la logique de l’abaissement. Est évoquée, entre autres thématiques thérésiennes apparentes à travers ce corpus de signatures, la Petitesse – attitude spirituelle fondamentale. Un ensemble d’annexes permet au lecteur de se repérer dans tous les écrits de Thérèse. – un angle de vue original et unique sur la doctrine de Thérèse de Lisieux – une analyse passionnante et fine de ce qu’exprime chaque signature – un texte d’une grande pédagogie par un spécialiste de la petite Voie Voici une émission sur RADIO MARIA avec le frère Didier-Marie Golay en décembre 2024 : https://radiomaria.fr/spiritualite-carmelitaine/  

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Surnommée « la fleur de Terre Sainte », Marie de Jésus Crucifié est connue pour sa dévotion à l’Esprit Saint. Neuvaine ayant reçu l’imprimatur de Mgr Robert Le Gall, archevêque de Toulouse. Après la fameuse prière à l’Esprit Saint de la Sainte, chaque jour de la neuvaine propose une prière basée sur sa spiritualité. 1er jour : le mystère de l’Incarnation - 2e jour : l’Esprit Saint - 3e jour : la Vierge Marie - 4e jour : Jésus crucifié - 5e jour : le combat spirituel et l’humilité - 6e jour : la charité - 7e jour : le pardon - 8e jour : l’Église - 9e jour : le Ciel « Esprit-Saint, inspirez-moi ; Amour de Dieu, consumez-moi ; Au vrai chemin conduisez-moi… » « Ô Seigneur, donnez-nous un petit grain de charité que la terre ne gâte pas » (Sainte Marie de Jésus crucifié)

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Méditations du tout premier chemin de Croix par les saints du Carmel. De structure classique, ce chemin de croix propose de méditer la Passion du Sauveur à l’aide des maîtres du Carmel. Chacune des quatorze stations commence par une invocation, suivie d’une citation scripturaire complétée par un texte de méditation tiré des enseignements de saints personnages du Carmel : Bx Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus, frère Laurent de la Résurrection, sainte Thérèse d’Avila, sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix, sainte Marie-Madeleine de Pazzi, sœur Marie de Saint-Pierre et de la Sainte Famille, saint Jean de la Croix, sainte Élisabeth de la Trinité, sainte Thérèse de Lisieux, bienheureuse Marie de l’Incarnation, vénérable Mère Thérèse de Saint Augustin, vénérable Jean de Saint Samson, sainte Thérèse de Jésus de Los Andes, frère Augustin Marie du Saint Sacrement.

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Dans un monde où la vérité sur l’homme, sa vocation et sa destinée, est profondément obscurcie, ce livre témoigne du caractère providentiel de la proclamation du dogme de l’ Assomption au XXe siècle et de son actualité soixante-dix ans après. À l’heure où l’impératif de « sauver la planète » s’ est massivement substitué à celui de « sauver son âme », le mystère de l’ Assomption résonne comme la bonne nouvelle du salut intégral de la personne, corps et âme, jusque dans la résurrection de la chair. À l’heure où la mort est niée, hâtée ou banalisée, où le transhumanisme poursuit la chimère d’une vie immortelle sur la terre, l’ Assomption proclame que la mort n’ est pas la fin mais un passage vers la Vie, proposé à notre liberté. Elle resplendit comme promesse de vie éternelle. À l’heure où la dignité et la spécificité de l’ être humain sont remises en question, l’ Assomption manifeste que Dieu aime tout homme de façon unique. En contemplant ce mystère à travers la pensée de Joseph Ratzinger/Benoît XVI, l’ auteur étudie les enjeux anthropologiques et eschatologiques du dogme. Elle nous fait redécouvrir alors à quel point la théologie mariale se trouve au cœur des mystères de la foi chrétienne, et met en relief l’unité, l’harmonie et la beauté du dessein divin sur l’homme.

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Cet ouvrage vient combler un manque au cœur de la théologie de la vie religieuse. De fait, jusqu’à maintenant, de nombreux auteurs se sont focalisés sur les premiers principes théologiques de la vie religieuse, en recourant à la tradition monastique, thomiste ou bonaventurienne. D’autres se sont davantage concentrés sur les défis psychologiques, historiques ou sociologiques de la vie religieuse contemporaine, en se fondant sur les lois du développement humain. Comment réconcilier l’héritage de la tradition ecclésiale avec les défis pastoraux contemporains au cœur de la vie religieuse ? En prenant comme fondements les mystères de l’Incarnation du Christ et le long travail d’appropriation que les disciples devront faire pour saisir l’identité de leur Maître, l’auteur propose la vie religieuse comme une expérience transfigurante du cœur humain. Il explicite ce chemin de conversion en articulant d’une manière vivante le mystère de la vocation (Sequela Christi), le processus de configuration au Crucifié par le travail des vertus (les vœux), et la mission charismatique de la vie religieuse (finalité eschatologique). Ce livre ouvre une voie pour approfondir le caractère prophétique et actuel de la vie religieuse.

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Mariam est une sainte palestinienne canonisée par le pape François. L'écouter  tout au long de cette retraite, c'est redécouvrir le mystère de l'Incarnation, la puissance cachée dans l'humilité. Elle nous propose un chemin d'accueil de l'Esprit Saint, en compagnie de la Vierge Marie, pour nous conduire à Jésus. Quelques jours pour retrouver le secret d'une joie simple et lumineuse.  La collection "Retraite spirituelle" est un compagnon pour les temps de retraite personnelle. Chaque ouvrage est donc structuré comme une retraite de 5 à 7 jours, avec 2 enseignements par jour.

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Cette retraite spirituelle explore l’itinéraire et la réflexion de cette philosophe juive convertie, amoureuse du Christ jusqu’à la Croix. 5 jours à sa suite pour scruter notre propre relation à Jésus dans le concret de notre existence. Dans une lettre à son ami Roman Ingarden, Edith Stein écrit: « Le Christ est le centre de ma vie ». Dès son baptême, l’existence d’Edith est centrée sur le Christ Jésus qu’elle découvre comme créateur, « principe et fin de toutes choses ». Elle contemple le mystère de son Incarnation rédemptrice qui la conduit au pied de la Croix et dans l’Eucharistie, elle fait mémoire de ce Mystère Pascal. Et dans une lettre à une amie, elle précise : « Quel trésor incommensurable que l’Écriture Sainte ». Ainsi chaque jour de la retraite commence avec l’écoute de la Parole de Dieu. Le thème ainsi initié le matin est repris l’après-midi dans la vie et les écrits d’Edith Stein. Le retraitant est invité à recentrer sa vie sur le Christ Jésus source de tous biens... – 25e anniversaire de la canonisation d’Edith Stein, peut-être bientôt Docteure de l’Église ! – une retraite articulée entre les Écritures et la lecture qu’en fait la Sainte. – un itinéraire dense pour regarder en profondeur la place du Christ dans notre existence. – promotion sur Radio Notre-Dame par Xavier Accart de Prier.

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Marie de l'Incarnation, était surnommée "la Thérèse du nouveau monde". Sa canonisation par le Pape François montre sa dimension universelle. Sa foi ardente, ses talents naturels et les grâces reçues ont animé ses états de vie successifs : mariée, mère de famille, veuve, chef d'entreprise, ursuline, éducatrice et fondatrice missionnaire. C'est une femme accomplie et maîtresse de vie chrétienne à suivre dans "les difficultés de notre temps" (Jean-Paul II).   La collection "Retraite spirituelle" est un compagnon pour les temps de retraite personnelle. Chaque ouvrage est donc structuré comme une retraite de 5 à 7 jours, avec 2 enseignements par jour. "L'analyse du discernement que Marie Guyart de l'Incarnation a opéré avant son départ au Canada et particulièrement éclairante" (JM Dumont - Famille Chrétienne 30 octobre 2020) "Un petit livre débordant du trésor de nos vies!" (Véronique Fabre - Vies Consacrées - Juillet 2020)  

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Itinéraire spirituel de saint Jean de Brébeuf - Marie Guyart de l'Incarnation, vie contemplative et mission - Jeanne le Ber, recluse à Ville-Marie - Présence du Carmel thérèsien au Québec - À l'origine du Carmel au Canada : la fondation de Montréal en 1875 - Les Servantes de Jésus-Marie : évangéliser par l'adoration - Quelques perspectives de l'Église du Québec.

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Le Jubilé dans la Bible - Le mystère de la Trinité source et horizon de l'existence humaine - Le mystère de l'Incarnation à la lumière des romances de st Jean de la Croix - La conversion à l'amour - Le pélerinage - De la porte du ciel à l'Incarnation - Vivre le jubilé en étant présent aux pauvres dans une société d'opulence.

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Traduction française de Jean de Brétigny (1601). La collection Sources mystiques propose de redécouvrir les trois oeuvres majeures de la célèbre mystique espagnole, dans leur toute première traduction française. Due à Jean de Brétigny, personnage capital de l’introduction du Carmel thérésien en France (1604), cette traduction très proche du texte source fut celle lue par la première génération mystique française du XVIIe siècle, de saint François de Sales à sainte Marie de l’Incarnation.  Les Demeures ou Château de l’âme furent rédigées pas la sainte d’Avila au soir de sa vie. L’ouvrage a fait date dans la littérature mystique, par sa description très précise des états d’oraison les plus avancés. Si l’on veut bien accepter de se laisser dérouter par la pensée de Thérèse, toute en intuitions jaillissantes, on parcourra avec plaisir et grand profit la succession de ces sept Demeures, au fil d’un voyage qui révélera au lecteur les replis les plus secrets de son âme.

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La collection Sources mystiques propose de redécouvrir les trois oeuvres majeures de la célèbre mystique espagnole, dans leur toute première traduction française. Due à Jean de Brétigny, personnage capital de l'introduction du Carmel thérésien en France (1604), cette traduction très proche du texte source fut celle lue par la première génération mystique française du XVIIe siècle, de saint François de Sales à sainte Marie de l'Incarnation, génération qui reconnaissait déjà que sainte Thérèse était la référence majeure en matière d'oraison. 

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La vocation d'Élisabeth Catez, pianiste accomplie, a mûri dans une atmosphère familiale et religieuse qui donne une coloration toute particulière à son cheminement intérieur. C'est la loi de l'incarnation à laquelle notre humanité ne saurait se soustraire. Mais avec quelle audace elle a su sortir des chemins étroits, tout tracés devant elle ! Cette petite biographie se propose de présenter Elisabeth le plus fidèlement possible en la situant dans son cadre de vie. 

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       L’Église, en vertu du principe de l’incarnation de Dieu au sein des réalités humaines, croit que la Bible est la Parole de Dieu portée par des hommes avec les connaissances de leur temps. Il faut donc l’interpréter afin de percevoir ce que Dieu nous dit. Cette interprétation doit être faite à la lumière de l’Esprit Saint, qui l’a fait rédiger. C’est réellement en pleine communion avec la foi de l’Église qu’est donnée une interprétation en harmonie avec celui qui a inspiré les auteurs sacrés.Le Père Marie-Eugène n’était pas exégète. Mais sa vie de foi et de prière l’a conduit à savoir découvrir le sens spirituel de l’Écriture. De quoi s’agit-il ? Au-delà du seul sens littéral des textes et de la recherche de ce que les auteurs ont cherché à exprimer avec les moyens littéraires et historiques de leur temps, le sens spirituel cherche à retrouver la réalité de foi qu’ils ont voulu exprimer et il s’efforce de la relier à l’expérience croyante de notre monde.Cet ouvrage, présentant les communications faites au congrès organisé par le Studium de Notre-Dame de Vie à Saint-Didier, est très utile car il fait percevoir la manière dont un maître spirituel aborde l’Écriture Sainte. Mgr Pierre-Marie Carré

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Barbe Avrillot, épouse Acarie, est considérée à juste titre comme l'instigatrice, avec Pierre de Bérulle, de l'implantation en France de l'Ordre du Carmel, réformé par Thérèse d'Avila. Ce projet religieux s'inscrit à la fois dans l'histoire personnelle et familiale de « madame Acarie » – comme les historiens ont pris l'habitude de l'appeler – et dans le contexte de pacification religieuse et de réconciliation politique propre au règne d'Henri IV. Fille des guerres de Religion, mariée à un protagoniste de la Ligue, Barbe Avrillot contribue puissamment, dans les années qui suivent l'édit de Nantes (1598), à convertir le combat armé des ligueurs contre les huguenots en un combat spirituel, voire mystique, par les armes de la prière et de l'ascèse. Elle mobilise son influent réseau d'amis, habitués pour la plupart de son hôtel du Marais à Paris, pour faire venir en France en 1604, non sans difficultés, un petit groupe de carmélites formées à l'école de Thérèse d'Avila. Devenue veuve, elle entre dix ans plus tard, en 1614, au carmel d'Amiens et y devient soeur converse sous le nom de Marie de l'Incarnation. Déplacée au monastère de Pontoise, elle y meurt en 1618. Elle est béatifiée sous le pontificat de Pie VI, en 1791, alors que le conflit s'envenime entre le Saint-Siège et la France révolutionnaire.