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Présentation

Ce petit roman historique nous raconte la vie remarquable d’une jeune fille lotoise au XVIIIe siècle, qu’une foi absolue conduit à la clôture du Carmel, à Compiègne… jusqu’au jour de la Terreur. D’une force d’âme édifiante, elle est l’avant-dernière carmélite à monter sur l’échafaud. Un récit véridique, épuré, qui repose la question de la liberté de croire et de la vraie dimension du martyre. Ce petit livre nous fait redécouvrir le martyre des carmélites de Compiègne en 1794, à travers la vie de l’une des plus courageuses. Nourrie de l’histoire locale et s’appuyant sur les archives du procès, l’auteur raconte le parcours d’Annette Pelras, devenue Sœur Marie-Henriette de la Providence. Aînée d’une famille très nombreuse, habitant un village du Lot, elle se destine à la vie religieuse dans une congrégation hospitalière. Mais à cause de sa grande beauté, elle rejoint le lointain carmel de Compiègne, se dérobant pour toujours à tous les regards humains. Survient la Révolution française. Les ordres religieux sont menacés. Sous l’influence de la Mère prieure, le couvent connaîtra une destinée hors du commun. D’un même cœur, les carmélites décident d’offrir leur vie à la suite de Jésus pour arrêter le massacre de la Terreur et ramener la paix. Ensemble, comme pour le sacrifice liturgique du soir, elles montent à la guillotine et meurent en chantant. L’âme d’Annette, morte l’avant-dernière, s’envole et visite sa maison natale avant de monter vers le ciel.

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Un premier livre, L’Amour sera toujours vainqueur, publié en 2000 à la demande de l’évêque de Beauvais, a été rapidement épuisé. La décision du pape François en 2022 d’autoriser la procédure de canonisation détermine cette nouvelle publication. Il ne s’agit pas d’une simple réimpression. Le texte a été revu, corrigé et largement augmenté de nouveaux témoignages. Le titre est inspiré de l’acte d’offrande rédigé par Mère Thérèse de Saint-Augustin, la prieure de la communauté martyre. L’ensemble des écrits et pensées des carmélites, des témoignages sur elles, sont présentés et classés de manière à faciliter la compréhension de leur cheminement. Ce livre constitue le meilleur outil pour entrer simplement et rapidement dans la vérité historique du martyre des carmélites et de leur offrande pour la paix de l’Église et de la France.

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Neuvaine qui permet de mieux connaître le saint préféré de Thérèse de Lisieux. Un brève parole du Saint martyr introduit chaque méditation quotidienne. Jour après jour, le lecteur le suit dans sa biographie et son itinéraire spirituel. Prêtre des Missions étrangères de Paris, il a subi le martyre à Hanoï en 1861 ; Jean-Paul II l’a canonisé en 1988. « Sa vie est toute simple. Comme Thérèse, il suscite spontanément la sympathie et l’affection. Tout le monde l’aime. Il prêche autour de lui la gaieté et l’humilité. » (Introduction) L’ensemble de cette neuvaine a reçu l’approbation ecclésiastique.

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La neuvaine aux 16 bienheureuses carmélites de Compiègne, martyres, vise à demander l’intercession des bienheureuses dont la canonisation approche. Les méditations quotidiennes permettent de découvrir les portraits des bienheureuses. L’ensemble de cette neuvaine a reçu l’approbation ecclésiastique.

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S'appuyant sur une solide documentation et des témoignages vivants, tirés du procès de béatification, ce livre nous présente une figure féminine étonnante et attachante, ancrée dans l’histoire espagnole. Fille d’un pharmacien madrilène, Elvira fait partie des rares femmes de l’époque à obtenir son baccalauréat, puis un  diplôme de pharmacie. Dans son métier puis dans sa mission de prieure carmélite, elle déploie des talents d’administratrice avisée et une profonde et discrète générosité envers les plus pauvres.  Elle meurt fusillée, le 15 août 1936, martyre de la guerre civile et est béatifiée en 1998. Son histoire brosse en parallèle le contexte historique et social d’un pays en pleine mutation.

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C'est la sainte, mystique autant que martyre, qui apparaît au fil de ces pages. L’auteur est soucieux de transmettre, en plus d'une connaissance des faits historiques, la flamme ardente de la charité qui animait le cœur de Jeanne d'Arc.

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L'itinéraire du Père Jacques en quelques dates - Frère Jacques de Jésus : un martyre de la charité - Jacques de Jésus, parole de Dieu dans la nuit de l'histoire - Le Père Jacques éducateur, hier, aujourd'hui et demain - La Bible du Père Jacques - Les lectures spirituelles du Père Jacques au collège d'Avon, souvenir d'un ancien élève - Le Père Jacques de Jésus et le Père Maurice de la Croix, une amitié inspirée - "La vivante actualité des Carmes déchaux", texte du Père Jacques de Jésus - le Père Jacques dans l'univers concentrationnaire nazi, témoignage de M. Jean Gavard - Le testament spirituel du Père Jacques - Chant funèbre à la mémoire du Père Jacques.

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Historique du martyre - Les carmélites de Compiègne et sainte Thérèse d'Avila - Les carmélites de Compiègne et saint Jean de la Croix - Thérèse de Saint-Augustin : les carmels de Saint-Denis et de Compiègne - Thérèse de Lisieux et les carmélites de Compiègne - Dialogue des carmélites de Bernanos - Mort et resurrection du Carmel féminin français.

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Ce livre part d'un paradoxe : il y a des analogies entre le discours de Thérèse de Lisieux et celui du patient en psychanalyse.. Étude de la façon dont la transcendance du désir de Dieu s'est révélée en Thérèse.

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Fille d'Israël, disciple de Husserl, soeur du Carmel, victime de la Shoah, Docteur de l'Église et patronne de l'Europe : telle aura été la destinée d'Édith Stein dont la fulgurance éclaire et illumine le siècle des plus abyssales ténèbres. Mais son immense aura ne saurait pas plus plonger dans la pénombre l'enfant, l'adolescente et la femme qu'elle fut. Ce sont ces multiples dimensions que restitue ici Cécile Rastoin, en un portrait inégalé.

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La présence de moines en Algérie date de l'implantation française par le général Bugaud en 1843. Leur action positive auprès de la population leur a permis de traverser toutes les crises politiques... L'indépendance de l'Algérie ne changera pas leur volonté de présence qui les mènera, comme Charles de Foucauld 80 ans auparavant, au martyre. En 1996, sept moines furent assassinés. Lamour du prochain fut le moteur de leur vie. Sur un scénario rigoureux et de superbes dessins, cette BD s'attache à raconter la longue histoire de la présence monastique en Algérie et rend un hommage à ces martyrs des sables.

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Les carmélites de Compiègne sont seize religieuses carmélites condamnées à mort et guillotinées le 17 juillet 1794 par le Tribunal révolutionnaire pour motif de « fanatisme et de sédition ».   En 1792, après la déchéance du roi et la fermeture des couvents, les seize religieuses occupent des maisons en ville, à Paris. Dans la fureur révolutionnaire elles décident de s'offrir « en holocauste pour que la paix soit rendue à l’Église et à l’État ». Elles sont arrêtées le 27 juin 1794, et jugées le 12 juillet après un procès bâclé et expéditif. Quand la charrette les emmène, vêtues de leurs robes et de leurs manteaux blancs et chantant des cantiques, « elles ont l’air d’aller à la noce » dit un témoin. On rapporte que la foule impressionnée par leur calme et leur dignité, les accueille en silence. Après le Veni Creator, elles renouvelèrent leurs vœux de religion. Puis la prieure, mère Thérèse de Saint Augustin, au pied de l’échafaud, bénit chacune des sœurs et leur donna à embrasser une minuscule statuette de terre cuite cachée au creux de sa main. La plus jeune, sœur Constance, est appelée la première ; elle gravit les marches entonnant tout à coup le psaume 117 Laudate Dominum, omnes gentes (Louez Dieu, tous les peuples), repris par ses sœurs. Leurs corps sont jetés dans l’une des fosses communes creusées dans le terrain sablonneux d’un jardin dépendant de l’ancien couvent de Picpus. Dix jours après leur martyre, la Grande Terreur cessa.   Elles ont été béatifiées par le pape saint Pie X le 27 mai 1906. Le Pape François a donné son accord le 20 janvier 2022 pour l’ouverture du procès de canonisation équipollente, c’est-à-dire sans nécessité de miracles, des 16 bienheureuses soeurs carmélites de Compiègne.   Leur courage et leur dignité inspirèrent un grand nombre d’artistes, comme Bernanos ou Poulenc pour les plus célèbres d’entre eux.