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votre recherche : royaume
Le Royaume de Dieu selon Saint Jean
Référence : ELPME_ROYAUME
Date de parution : 01.02.2023
Poids : 364 Gr.
Nb de Pages : 280
Disponible
Prix : 17,00 €
Présentation
Le Bienheureux Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus aborde dans ces pages des sujets essentiels à la vie de foi de tout baptisé. Il apporte un éclairage lumineux sur les évocations du Royaume de Dieu et le Discours après la Cène dans l’évangile de Jean. Saint Jean est un contemplatif et son évangile est le reflet de son expérience spirituelle, de son contact prolongé avec le Christ sur les routes de Palestine. Avec la fraîcheur du langage oral, le Bienheureux Marie-Eugène contemple le feu qui a présidé à sa rédaction : l’amour pour le Christ Jésus révélé et l’harmonie d’ensemble qui s’en dégage. La perspective de l’ouvrage est pratique : comment, à titre personnel, suis-je artisan de ce Royaume qui vient ? Comment l’adhésion libre et volontaire au dessein divin m’introduit-elle au cœur de ce Royaume ?
Les librairies en parlent : La Librairie LA PROCURE à Paris, présente par cette petite vidéo, Le Royaume de Dieu selon Saint Jean du Père Marie-Eugène.
Référence : ELPME_PARAB
Date de parution : 04.11.2019
Poids : 224 Gr.
Nb de Pages : 240
Disponible
Prix : 14,00 €
Présentation
Une retraite du bx Marie-Eugène sur le Royaume de Dieu à travers paraboles et allégories. La semence a besoin de temps pour grandir ; notre croissance spirituelle se fait dans le temps et souvent lentement. "Revenons à la parabole de la semence pour nous encourager dans la nuit à avoir foi en notre grâce...Avec le temps nécessaire, la semence se développera et donnera son fruit pourvu que nous croyions à la grâce puissante de Dieu, à la vie de Dieu en nous."
Référence : ELCV_LAICS
Date de parution : 04.06.2010
Poids : 230 Gr.
Nb de Pages : 175
Disponible
Prix : 18,00 €
Présentation
Et si nous devenions enfin vraiment chrétiens ! Sommes-nous prêts à nous lancer dans cette formidable aventure de la sainteté ? Telles pourraient être l’invitation et la question que nous lance ici le P. Antonio Maria Sicari.
En Jésus-Christ, Dieu révèle l’homme à lui-même. En ce sens, s’inspirer des conseils de chasteté, pauvreté et obéissance dans sa vie concrète de laïc ouvre d’étonnantes perspectives pour faire de son existence, en chacune de ses composantes (conjugale, familiale, ecclésiale, professionnelle, citoyenne) une Vie nouvelle qui annonce et goûte déjà le Mystère du Royaume de Dieu.
Les conseils que nous murmure le Christ apparaissent alors comme un chemin de liberté, de bonheur, de réalisation plénière de l’enfant de Dieu, du membre de l’Église que nous sommes.
Référence : ELE_CIEL_PRINCE
Date de parution : 30.09.2019
Poids : 132 Gr.
Nb de Pages : 140
Disponible
Prix : 11,50 €
Présentation
Le diable existe. Qu'il soit "prince de ce monde", comme le dit Jésus, est moins manifeste.
Si le diable est prince, c'est qu'il a un royaume ! Oui, il cherche à étendre sa puissance sur la terre...Mais tout prince qu'il est il peut être destitué et vaincu. Il l'est déjà par la victoire finale du Christ. Et il le sera aussi par notre prière.
Ce livre cherche à mieux cerner son action diffuse, qui n'échappe pourtant pas à la puissance de Dieu. Ouvrons les yeux !
Référence : ELREC_NIAGALE
Date de parution : 24.09.2024
Poids : 260 Gr.
Nb de Pages : 192
Disponible
Prix : 16,00 €
Présentation
Un joli conte aux couleurs africaines, qui emmène le lecteur à la suite de Niagalé, petite princesse au destin plus grand qu’elle. Une quête poétique pour retrouver l’origine du Mal et faire triompher le Bien. Un chemin initiatique... vers l’intériorité.
À Namazungo, dans le royaume des Lubas, c’est l’effervescence: dans trois jours aura lieu le mariage de la belle Niagalé avec le puissant prince Abimbi. Mais voilà qu’après la visite et les paroles mystérieuses d’un petit oiseau bleu, la peur et la méfiance apparaissent dans le cœur innocent de la jeune princesse… Pourquoi la force-t-on à boire souvent du Kaava? Et qui est cet homme aux grands yeux jaunes, à la pupille noire et fendue, qu’elle a découvert par inadvertance, dessiné au centre d’un labyrinthe? Ses craintes obscures et incertaines sont-elles vraies ou bien seulement le fruit de son imagination? Les aventures que la princesse s’apprête à vivre vont lui faire découvrir peu à peu sa véritable identité, dans un monde où le Mal semble dominer mais où seule la présence de cœurs purs et simples pourra le tenir en échec en apportant l’espérance et la lumière.
Référence : ELTV_FASCINE
Date de parution : 24.04.2024
Poids : 1000 Gr.
Nb de Pages : 830
Disponible
Prix : 27,00 €
Présentation
L’Âme sainte de Jésus: bien peu de chrétiens la connaissent comme sujet de contemplation. Le récit de cette vie mystique cachée mais riche, ancrée dans son siècle, révèle un amour brûlant pour l’humanité de Christ, et plus particulièrement pour son Âme.
https://fr.aleteia.org/2024/05/03/marie-aimee-de-jesus-lhumble-carmelite-qui-osa-repondre-a-ernest-renan/
SŒUR MARIE-AIMÉE DE JÉSUS, Fascinée par l’Âme sainte de Jésus (Témoins de vie), Toulouse, Éditions du Carmel, 2024, 830 p. Il y a cent cinquante ans, le 4 mai 1874, mourait sœur Marie-Aimée de Jésus, une humble carmélite qui osa répondre à Ernest Renan sur sa négation de la divinité de Jésus. Sa voie mystique prépara la doctrine de Thérèse de Lisieux, et ses méditations sur l’âme du Christ inspirèrent l’œuvre anthropologique d’une autre carmélite célèbre : Édith Stein. Qui ne connaît la prière de saint Ignace de Loyola Âme du Christ ? Pourtant les chrétiens considèrent rarement le fait que le Christ a une âme, de même que les hommes de notre temps pensent peu à leur âme. Or le Christ, vrai Dieu et vrai homme, a une âme humaine comme chacun de nous. Une hérésie des premiers siècles appelée « apollinarisme » fut condamnée, car son propagateur, Apollinaire de Laodicée, prétendait que le corps du Christ était animé par le Verbe lui- même et donc que le Christ n’avait pas d’âme. Il importe au contraire de tenir que Jésus-Christ est pleinement homme, corps et âme unis, mais que son âme ne fut jamais atteinte en quoi que ce soit par le péché originel. Tout en elle était ordonné, pacifié ; jamais une passion, que ce soit l’émerveillement ou la tristesse, ne dépassait en lui la mesure. Sa colère même, au Temple, fut totalement contenue par sa volonté. Autant dire que tenter un discours sur l’âme du Christ IV. Du XVIe siècle à nos jours 333 est délicat. C’est à cette méditation que s’essaiera une humble carmélite, sœur Marie-Aimée de Jésus (1839-1874). Dorothée Quoniam n’avait pas fait d’études. Née à Rozel près de Cherbourg en Normandie en 1839, elle avait suivi sa famille dans l’exode rural qui l’amena dans la capitale. Dans son Autobiographie, elle rapporte l’un des premiers mots qui la frappèrent quand elle n’avait que 4 ans. Elle entendit sa mère prononcer le nom du Très Haut : « Un jour, je fus vivement frappée d’un nom dont elle l’appe- lait et qui lui convient si bien, le Très-Haut ! L’entretien fini, je me retirai à l’écart pour le méditer à souhait. Le Très-haut, répétais-je en regardant le ciel, le Très-haut ! Puis abaissant les yeux sur moi-même : que je suis petite, me disais- je. Mon Dieu posait en moi la base de ses opérations, l’humilité. Le Très-Haut, repris-je, mais cette fois en déployant sous le souffle de l’Esprit Saint les ailes de mon âme, et étant ainsi arrivée à Celui qui m’attirait, le Père, je fus par lui fiancée à son Fils. J’avais environ quatre ans » (ch. 1, p. 4-5). À l’âge de 10 ans, elle perd ses deux parents et est accueillie dans l’orphelinat des Filles de la charité de la paroisse Saint-Roch. C’est là que germe sa vocation de carmélite qui la conduit en 1859 au monastère de l’avenue de Saxe à Paris (à l’emplacement actuel du Bon Conseil), qui est maintenant installé à Créteil. Un oncle aura bien essayé de lui trouver un bon parti, mais l’échec fut cuisant pour le prétendant : « J’avais dix-huit ans et demi : la conversation tomba, évidemment à dessein, sur un sujet qui jusque-là avait été complètement négligé ; on finit par me faire à mots couverts une vraie proposition de mariage. L’inconnu rougit et baissa les yeux, car j’avais répondu par un sourire ironique qui avait atterré les témoins. Qu’était-il arrivé ? Mon divin Fiancé s’était montré aux yeux de mon âme en tant qu’homme dans tout l’éclat de sa jeunesse et de sa virginale beauté. Il s’était placé à côté de son rival, et du regard, oh ! quel regard ! il me dit : compare… Or, la différence était insoutenable… » (ch. 8, p. 173). Au Carmel, durant sa retraite de profession solennelle, le 10 avril 1861, elle reçoit une vision intellectuelle de l’âme du Christ. C’est à partir de ce moment qu’elle en fait l’objet constant de sa méditation. Comme elle le rapporte dans son Autobiographie, elle se sait appelée à « personnifier » cette âme humaine du Fils de Dieu (p. 927), c’est-à-dire à reproduire en elle la vie et les sentiments du Christ. Elle aspire aussi à rappeler aux hommes qu’ils ont une âme (p. 896), ce qui rend son message très actuel. Dans cet amour passionné du Christ et ce souci du salut des âmes, elle accomplit pleinement sa vocation de carmélite. Quand en 1863, elle apprend la publication de la Vie de Jésus d’Ernest Renan, elle n’hésite pas à prendre la plume pour défendre la divinité du Christ et finit par composer un ouvrage en six volumes qu’elle intitule Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Une version remaniée et corrigée de ce dernier sera publiée en 1909 sous le titre Notre Seigneur Jésus-Christ étudié dans le saint évangile, puis rééditée plusieurs fois jusqu’en 1974. En 1870, à son instigation, la communauté prononce un vœu à l’Âme sainte et se voit protégée pendant le siège de Paris et la Commune. En contemplant l’âme de Jésus dans les évangiles, elle va pouvoir enseigner ses sœurs, notamment les novices qui lui sont confiées à la fin de sa vie (1871-1874). Des 334 Bulletin de spiritualité monastique évangiles, elle tire ainsi nombre d’enseignements sur la vie religieuse et la vie chrétienne en général. Sa vie toute simple de moniale est marquée par de nombreuses grâces d’ordre mystique et l’amour passionné du Christ son Époux. Sœur Marie-Aimée est aussi un jalon, au XIXe siècle, qui prépare la doctrine de sainte Thérèse de l’EnfantJésus. Elle laisse plusieurs pages sur le thème de l’enfance spirituelle, qui prendra une grande envergure dans la petite voie thérésienne. Il s’agit de devenir enfants en revivant l’état du Christ enfant : « Ô âmes, c’est la base de notre future grandeur, qui se pose en nous, c’est l’humilité du Christ qui agit en nous, c’est sa petitesse qui nous raccourcit à la taille spirituelle de l’enfant, laissons-lui faire son œuvre si nous voulons entrer dans le royaume des cieux » (Notre Seigneur Jésus Christ étudié dans le saint évangile. Sa vie dans l’âme fidèle, t. V, Vie publique, 2e p., ch. 59). Cet esprit d’enfance conduit à la véritable virilité. Jésus a en effet conservé l’esprit d’enfance à l’âge adulte ; dès lors « [que l’âme] prenne bien garde en avançant dans la virilité de Jésus-Christ de perdre l’esprit de sa sainte enfance ». Sœur Marie-Aimée de Jésus meurt le 4 mai 1874, il y a cent cinquante ans. Elle laisse un beau témoignage de vie carmélitaine par sa fidélité et son zèle à défendre son Époux quand il est attaqué, par sa simplicité et sa ferveur. Elle nous rappelle aujourd’hui encore que nous avons une âme, une âme à sanctifier par l’imitation du Christ et en particulier de son enfance. Frère Yves-Marie Ménage, Aleteia, Paris
Référence : ELTV_CORR_LEONIE
Date de parution : 01.02.2023
Poids : 842 Gr.
Nb de Pages : 784
Disponible
Prix : 27,00 €
Présentation
Depuis quelques années la notoriété de Léonie Martin, devenue Sœur Françoise-Thérèse à la Visitation de Caen, ne cesse de croître. Les pèlerins se pressent de plus en plus nombreux sur sa tombe pour y demander des grâces et les obtenir. Les biographies publiées depuis celle de Stéphane-Joseph Piat en 1966 brossent le portrait de la sœur de Thérèse de l’Enfant-Jésus et suscitent un indéniable intérêt pour l’enfant atypique de la famille Martin.La Correspondance ouvre la voie à une connaissance plus intime et plus précise de Léonie. Au fil des lettres à ses sœurs, carmélites à Lisieux bientôt rejointes par Céline, à d’autres membres de sa famille ou à quelques amis, le lecteur suit de près l’itinéraire de Léonie, ses échecs, ses premiers pas dans la vie religieuse, ses difficultés, ses souffrances physiques, ses relations avec ses supérieures, ses victoires dans l’acceptation d’elle-même. Tout y est décrit avec pudeur et confiance. Témoin actif des procès de béatification et canonisation de la Petite Thérèse, la correspondance avec Lisieux donne des détails inconnus et particulièrement vivants. Le lecteur se sent comme un membre de la famille à qui on confie des secrets.Mais surtout, dans ces lettres intimes transparaissent la présence de Thérèse de l’Enfant-Jésus, son enseignement, son exemple, son intercession constante. La petite voie que suit Léonie fait d’elle une authentique disciple de Thérèse, ce qu’elle sut harmoniser avec la spiritualité de saint François de Sales qu’elle avait choisie. Pour qualifier sa fille moins douée que les autres, Zélie Martin n’hésitait pas à l’appeler la « pauvre Léonie ». La lecture de cette correspondance montre qu’en réalité Léonie est riche de cette pauvreté évangélique à qui le Christ promet le Royaume. Nouvelle « sainte » de la confiance et de l’impossible, Léonie Martin témoigne de l’incroyable efficacité de la grâce.
Référence : ELVI_PERE
Date de parution : 28.03.2025
Poids : 220 Gr.
Nb de Pages : 192
Disponible
Prix : 22,00 €
Présentation
Nous connaissons la magnifique parabole du fils prodigue, mais l’auteur en prolonge la lecture pour regarder le Père Prodigue qui s’y révèle: prodigue dans son amour fidèle pour nous, dans sa miséricorde infinie. Ce texte nous est montré comme étant la base même de notre foi, soulignant le fondement de notre existence naturelle et spirituelle. Un principe de vie pour nous, enfants de Dieu. L’inépuisable parabole du retour de l’enfant prodigue (Luc, chap. 15) résume à elle seule la nouveauté du Nouveau testament et la rédemption universelle que le Christ Jésus vient apporter à toute l’humanité. Ce texte constitue comme un sommet de la révélation divine, et de la paternité d’un Dieu qui ne cesse de vouloir nous prodiguer son Amour, sa miséricorde infinie. L’auteur en fait la lecture dans une perspective à la fois philosophique, théologique et mystique afin d’en mieux percevoir toute la richesse. La réflexion se déploie en effet sur le double plan de la foi et de l’anthropologie chrétienne, tant cette parabole est une synthèse de l’existence du Dieu biblique et de la relation qu’Il entretient de toute éternité avec les créatures humaines, avec chacun de nous. Nous pénétrons le mystère de l’Alliance, ancienne et nouvelle, don d’Amour donné, librement consenti, accueilli par la grâce. De la théologie? pas tant qu’une méditation pour retrouver avec gratitude la source de notre foi.
Cliquez sur ce lien pour écouter l'émission du Frère Jean-Gabriel au sujet du Père prodigue : Le Père prodigue, fidèle et miséricordieux - Radio Présence
Relue à l’aide de sainte Thérèse de Lisieux, la parabole du fils prodigue (cf. Lc 15, 11-32) nous enseigne que c’est vraiment Dieu qui est en fait le « Père prodigue ». Le père Rueg, carme de Toulouse, vient d’écrire un bel essai sur ce thème, il nous en fait ici une synthèse. par Fr. JEAN-GABRIEL RUEG, OCD «L’enfance spirituelle, c’est la conscience de la gratuité de la rédemption et la recherche de ce don comme gratuit », écrivait André Combes dans son Introduction à la spiritualité de sainte Thérèse de l’Enfant-Jé sus. Cette conscience a en partie motivé l’écri ture de cet ouvrage (1), qui se veut être « une lec ture thérésienne » de la parabole dite « du fils prodigue » dans le chapitre 15 de saint Luc. La conscience claire que tout, dans notre vie chré tienne, relève des libéralités d’un Dieu qui désire nous prodiguer gracieusement ses bienfaits. À commencer par sa création, dont Il est le Prin cipe. Le premier don que Dieu nous fait, c’est en effet « la grâce d’exister ». L’épître aux Romains (4, 17) rappelle que Dieu « appelle à l’existence ce qui n’existe pas », tandis que la métaphysique chrétienne atteste que le don de l’être constitue la première alliance où Dieu se dit. Car nous n’avons été créés, selon saint Jean de la Croix, que par et pour son Amour. La parabole du fils prodigue n’est donc pas à lire « comme une anecdote illustrative, mais comme une véritable fresque de l’histoire de l’humanité dans les heurs et malheurs de son alliance avec Dieu » (préface). Tout commence en effet par « le don de notre être », que Dieu nous fait, gratuitement, qui est marqué dans la parabole par « l’héritage », que le fils cadet vient réclamer à son père. Dans le texte original grec, saint Luc emploie le terme « ousia » pour cette « part d’héritage »; c’est ce même mot qu’emploie la philosophie grecque pour désigner ce qu’est une réalité, on dira une « substance » ou encore « une essence »; plus sim plement: « ce qui est ». Saint Thomas d’Aquin va pousser plus loin la réflexion en disant que toute réalité ontologique tire son existence, non d’elle même, mais de ce Dieu qui se présente à Moïse comme « Celui qui est » (Ex 3, 14): c’est là le seul nom qui n’altère pas son Mystère, mais nous dit qu’Il est la Source de tout ce qui est. Lui seul peut dire: « Je suis », sans aucune limitation d’être… Son Essence, c’est son Existence elle même, dira le Docteur angélique. Notre ousia n’existerait donc pas sans le Dieu créateur, puisque c’est Lui qui nous donne d’être ce que l’on est. En ce sens, on peut dire que « l’existence précède l’essence », une formule fameuse de l’exis tentialisme moderne, mais qu’il faut entendre d’une tout autre manière en philosophie chré tienne. Pour Sartre, je fais ce que je veux de mon existence, sans nulle autre contrainte que celle que fixe ma liberté, seule étoffe de mon être, et qui n’est tributaire ni d’aucun Dieu ni d’aucune nature humaine ou essence… Dans cette attitude, on veut tout tirer à partir de soi-même: on retrouve sans peine l’orgueil du premier péché qui a poussé l’homme à vouloir se suffire à lui-même, tout comme l’enfant prodigue à dilapider son héritage en oubliant son dona teur. Si Dieu nous fait « passer du néant à l’être », c’est pour que nous en disposions librement en harmonie avec son dessein d’amour et de sa gesse. Le Père, avant de pardonner, est celui qui donne sans compter… En son Fils, son Unique Parole, Il nous a tout donné, dira encore Jean de la Croix. Le Christ vient reprendre l’œuvre du Père pour la Lui réordonner. Jésus est le « Vrai fils aîné » de notre parabole: « tout ce qui est à moi est à toi », ce sont tout à la fois les mots du Christ en saint Jean et ceux du père de notre parabole à l’adresse de son fils aîné… Le Christ rend manifeste la tendresse infinie d’un Dieu toujours fidèle à Lui-même, à sa Promesse et à son Alliance. Il nous « prodigue » sans compter son Amour. Ce retour vers le Père ne peut cepen dant se faire sans notre consentement, et im plique notre conversion: « Si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux » (Mt 18, 3). Ce pendant, celle-ci relève encore de la miséricorde du Père. Si la Tradition parle de justification in térieure par la foi, c’est que cette vertu nous rend capables d’être transformés en Dieu par l’action de Son Esprit, qui, tel le feu, peut transformer toutes choses en lui-même, pour employer une image thérésienne tiré de son Acte d’offrande. Le désir et l’accueil du don Le cœur de l’homme est ainsi appelé à accepter librement le bonheur que Dieu lui offre et qui ne peut être que le fruit de Sa grâce. Le désir et l’ac cueil reconnaissant du don de Dieu seront donc les éléments humains privilégiés du dialogue. En effet, celui qui demande ou désire le salut sauve son âme; et cela vaut pour tous les hommes; il suffit ainsi d’un instant de désir, comme pour le criminel Pranzini, que la prière de Thérèse a sauvé, non de la guillotine, mais de l’impénitence finale et de l’enfer. « La plus grande menace pour l’homme est celui de perdre Dieu », déclarait Be noît XVI. La joie du Père relève de la conscience aiguë de ce risque: « Il fallait se réjouir, car ton frère était perdu, et le voici retrouvé. » Dieu, qui est riche en miséricorde, ne peut laisser l’homme au désespoir de la mort spiri tuelle. Il est le Père prodigue d’un Amour qui ne s’éteint jamais. Non seulement il pardonne, mais il se donne lui-même sans retour. La Petite Thé rèse est un témoin sûr de sa miséricorde. Elle a compris que toute notre vie dépendait de ce Père des Lumières de qui vient tout don parfait. Et que le seul chemin pour retourner vers Lui était de recevoir de Lui tout ce qui nous est nécessaire pour vivre. Comme des enfants… Pour cela, il nous faut entrer en nous-mêmes, dans cette vie spirituelle où il s’agit de demeurer avec le Christ, à l’instar du fils cadet de notre parabole, pour y percevoir la présence de ce « Père prodigue », qui n’a cessé de manifester Son Amour tout au long de son Alliance, et reste fidèle à l’éternel dessein de Sa providence et de Sa grâce. J.-G. R. ______________________________________________________________________
Bulletin de spiritualité monastique La parabole du fils prodigue nous fait comprendre comment Dieu, créateur de toute chose, est à la recherche de l’homme. J’ai lu Le Père prodigue, un petit essai thérésien qui apporte un éclairage nouveau sur la plus fameuse des paraboles de l’Évangile. Il existe des phrases qui en un instant nous transportent dans un univers plus vaste que le nôtre. Voici Jésus assis face à des pharisiens agités. Tout le monde parle en même temps, tout le monde veut argumenter. On se coupe la parole. On hausse le ton. Alors Jésus, les yeux baissés, murmure : « Un homme avait deux fils… » L’auditoire intrigué se tait. Et Jésus énonce à mi-voix les mots ineffaçables que depuis vingt siècles nous ne cessons de relire et de méditer : « Le plus jeune dit à son père : donne-moi la part d’héritage qui me revient. Et le père leur partagea ses biens » (Lc 15, 12). Ces mots ordinaires, sans le moindre adjectif, introduisent la plus belle page de la littérature mondiale. La parabole du fils prodigue fait du charpentier de Nazareth le plus grand écrivain parmi les enfants des hommes. Mais cela finalement n’est pas très important en comparaison de l’essentiel, qui est que cette allégorie improvisée devant des pharisiens acrimonieux, subtile dans sa psychologie et magnifique dans sa composition, nous éclaire sur le mystère de l’être et de la rédemption. Elle dit tout de notre condition de créatures sauvées par un Dieu d’amour. Notre condition de créatures sauvées par un Dieu d’amour est précisément au cœur de l’essai que frère Jean-Gabriel Rueg, prieur du couvent des carmes de Toulouse, vient de publier aux éditions du Carmel. Ce petit livre dense propose « une lecture thérésienne de la parabole du fils prodigue ». Derrière un titre paradoxal, Le Père prodigue, frère Jean-Gabriel offre une réflexion savante mais non pas absconse sur le mystère de l’être et le mystère de Dieu. La parabole du fils prodigue nous fait comprendre comment Dieu, créateur de toute chose, est à la recherche de l’homme. Il est le Père prodigue qui, au-delà de tous nos refus, destine sa création au bonheur. Il est le Père patient par qui tout est grâce. Il nous suffit, chose terriblement simple, de lui dire oui. Le texte, précédé d’une préface lumineuse de Mgr Jean-Pierre Batut, évêque auxiliaire de Toulouse, apporte un éclairage nouveau sur la plus fameuse des paraboles de l’Évangile, celle qui a inspiré tant d’artistes et de saints. Le livre fourmille de références, depuis les philosophes grecs jusqu’au théologien Ratzinger. Il ne nous épargne aucun effort. Il est assurément un livre à lire crayon à la main, tant il est riche. Il est exigeant. Pour un peu, l’ouvrage finirait par faire de nous, simples lecteurs, de vrais métaphysiciens. À un certain moment, m’est venue cette image : un jeune lecteur aborde le Christ. Il se jette à ses pieds et lui demande : « Bon maître, que dois-je faire pour être un bon théologien ? – Tu le sais, répond Jésus : n’oublie pas de prier et pense à relire Bergson et Maritain. – Bergson et Maritain, je les ai lus depuis ma jeunesse, dit le lecteur. – Une seule chose te manque : vends tes livres, résilie tes abonnements en ligne et donne l’argent au Secours catholique. Puis viens et suis-moi ». Alors le jeune lecteur s’en alla tout triste, car il possédait une vaste bibliothèque. Comme il est difficile à un théologien d’entrer dans le royaume de Dieu ! Je n’insiste pas. Le livre de Jean-Gabriel Rueg tient dans une poche de pantalon et il nous affermit dans notre foi : on peut suivre le Christ sans le quitter. Xavier Patier, Toulouse._________________________________________________________
REVUE NOVA & VETERA
Fr. Jean-Gabriel RUEG, O.C.D., Le Père prodigue, Dieu toujours fidèle, Une lecture théré-sienne de la parabole du fils prodigue, Vie intérieure 31, Éd. du Carmel, Toulouse, 2025, 188 p.
Le titre de l’ouvrage ne peut manquer d’interpeller le lecteur. Attribuer au père de la parabole évangélique le qualificatif du fils prévaricateur, c’est remonter à la source même de l’histoire du salut et en offrir une clé herméneutique. En effet, pour comprendre le dévoiement de la liberté du fils prodigue, il faut d’abord saisir la prodigalité du don du père. Aussi est-ce au prisme de la libéralité de Dieu que le Frère Jean-Gabriel Rueg, prieur du couvent des carmes de Toulouse, ressaisit en une synthèse puissante tout le dessein divin de création, de rédemption et de sanctification des hommes.
Le premier chapitre se présente comme une longue méditation métaphysique sur le don de l’existence, participation à l’être même de Dieu. Cette « grâce d’exister », selon la belle ex-pression de J. Ratzinger (p. 11), constitue la perfection première de toute créature, perfection que celle-ci est incapable de produire par elle-même, mais qu’elle reçoit de Dieu. Le don de l’acte d’être « manifeste la sublime libéralité d’amour de son Généreux Auteur tout autant que la formidable puissance créatrice d’un Amour divin et personnel » (p. 37). Ce prodigieux amour ne s’impose pas à la créature, mais s’offre à son libre acquiescement. C’est le drame du fils cadet de la parabole que de revendiquer pour lui sa part d’héritage (dans le texte grec : ousia, essence ou substance) en s’émancipant de sa dépendance ontologique et filiale, à l’instar de nos premiers parents au jardin d’Éden. Le chapitre 2 nous décrit la spirale destruc-trice du péché, nous rappelant le risque immense de la perdition éternelle. Il doit être lu à la lumière du chapitre suivant, consacré à la conversion, laquelle consiste avant tout à consentir à l’amour. Notre liberté ne s’épanouit que dans le bien, souligne l’A. : « Je suis vraiment libre et je décide de la plénitude de mon existence à partir du moment où je prends la décision d’adhérer au don de la grâce » (p. 80-81). Dès lors que l’âme s’ouvre à cette grâce, elle pro-duit les fruits des vertus théologales. Les chapitres 4 à 6 peuvent être rattachés respectivement à la foi, à la charité et à l’espérance. Par le don de la foi, nous sommes justifiés, c’est-à-dire que nous participons à la justice même de Dieu. Nous ne pouvons que nous disposer à ac-cueillir ce don immérité, si bien que dans cette œuvre de conversion du cœur éclatent tout ensemble la justice et la miséricorde divines – d’où l’image thérésienne de l’ascenseur pour monter jusqu’au ciel (p. 96). Par la charité, nous demeurons en Dieu, lui rendant amour pour amour et portant du fruit pour le salut des âmes. Par l’espérance, enfin, nous sommes préser-vés d’un triple écueil : le naturalisme, la mondanité spirituelle et l’autosuffisance d’un monde émancipé de Dieu, dont l’ultime avatar est le projet prométhéen du transhumanisme. Le der-nier chapitre est une invitation à « entrer en soi-même » pour y expérimenter la présence agis-sante de Dieu, à l’école de saint Thomas d’Aquin et des maîtres du Carmel. L’A. conclut en soulignant, avec celle qu’il se plaît à appeler « le plus jeune Docteur de l’Église », que c’est notre faiblesse reconnue qui attire la miséricorde, la « bienheureuse indigence » de la créature appelant les flots de la « sainte prodigalité divine » (p. 171).
Le présent ouvrage n’offre pas seulement un riche enseignement didactique, il nous presse encore d’entrer dans la voie d’enfance spirituelle. Qu’il nous soit permis de proposer trois étapes, relevées au fil de notre lecture, de cet itinéraire de l’âme : recevoir, consentir, rendre. Explicitons : recevoir d’un Autre l’existence (p. 26), le sens de sa vie (p. 104), l’amour comme un don (p. 106), le mérite (p. 136) ou la contemplation (p. 168) comme une grâce ; consentir au salut (p. 108), à l’amour transformant (p. 122), à l’emprise de l’Esprit (p. 158) ; rendre amour pour amour (p. 125-130), rendre grâce pour tout car en définitive « tout est grâce » (p. 94) : tout vient de Dieu et tout retourne à lui (p. 54). Et puisque « la suprême ac-tion de grâce consiste précisément à recevoir ses grâces » (p. 176), nous voilà entraînés dans le circuit dynamique de l’enfance spirituelle qui se nourrit du va-et-vient entre l’accueil et la gratitude.
De ce livre où se mêlent philosophie et cinéma, théologie et littérature, le lecteur fera son miel selon son inspiration personnelle. En témoignent la préface de Mgr Jean-Pierre Batut et la postface de Michel Nodé-Langlois, l’une et l’autre remarquables. À chacun de s’approprier cette ode à la libéralité de Dieu et d’y trouver un chemin de retour vers le Père prodigue.
Fr. Robert Augé O.S.B.
Référence : RCA_NDIVERS
Date de parution : ---
Poids : 225 Gr.
Nb de Pages : 127
Disponible
Prix : 10,00 €
Présentation
Notre cité se trouve dans les Cieux : «Je ne meurs pas j'entre dans la vie », le ciel à l'école de Thérèse de Lisieux - La mort, rencontre avec le Christ, texte de Benoît XVI -La résurrection est-elle impossible ? deux auteurs du IIème siècle répondent - la fin des temps, commentaire d'Évangile - la fin du monde dans le cinéma contemporain : filmer l'apocalypse - « Voici que le royaume de Dieu est au milieu de vous » : le monde qui passe, le monde qui vient, regards du bx Newman - « Jour du ciel sur la terre. », le témoignage de Thérèse de Jésus - « Mon âme malgré ses ténêbres est dans une paix étonnante » - Élisabeth ou l'obsession du ciel.
Référence : L901516
Date de parution : 01.08.2017
Poids : 65 Gr.
Nb de Pages : 92
Disponible
Prix : 7,50 €
Présentation
Thérèse de Lisieux
Thérèse de Lisieux ou Thérèse de l’Enfant Jésus (1873-1897) est l’une des saintes les plus populaires dans l’Église catholique et au-delà. Elle a laissé trois manuscrits autobiographiques qui ont connu un succès immense.
Lire Thérèse, c’est écouter un être qui s’abandonne au dénuement et se laisse ballotter vers cette sainteté qui rend l’être poreux au monde. La vie en communauté, les défaillances de la foi, la maladie qui ronge : elle traverse les épreuves comme un petit chevalier qui s’arme de l’enfance et s’en tient à sa « petite voie » pour franchir les reliefs imprévisibles du royaume intérieur.
Le radicalisme tranquille de sa confiance fait presque peur ; elle n’a l’air de rien mais elle arpente vaillamment cette frontière où l’homme s’approche au plus près de l'humain et de la compassion.
Plutôt qu’à un modèle, le parcours de cette jeune femme renvoie, au-delà de la croyance et des dogmes, à ce cheminement aux confins de notre singularité vers l’autre.
Patrick Autréaux est écrivain.
Référence : L901628
Date de parution : 23.10.1997
Poids : 286 Gr.
Nb de Pages : 228
Disponible
Prix : 15,90 €
Présentation
« En vérité je vous le dis, si vous ne retournez à l'état des enfants, vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux » (Mt 18, 2-3). La condition est impérative. Quel meilleur guide choisir que sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, pour redécouvrir la véritable enfance spirituelle ? Dans ces lignes lumineuses, l'esprit d'enfance devient la clé d'une vie spirituelle réussie et heureuse.
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Référence : L920057
Date de parution : 01.09.2024
Poids : 600 Gr.
Nb de Pages : 52
Disponible
Prix : 14,90 €
Présentation
À l'aube de sa mort, le 30 mai 1431, Jehanne d'Arc reçoit la visite d'un dominicain, Frère Martin Ladvenu, et lui confesse sa vie. Vers l'âge de 13 ans, tandis que le royaume de France est sous la domination des Anglais alliés aux Bourguignons, cette jeune fille de Lorraine est missionnée par des « voix », celles de l'archange saint Michel, de sainte Catherine d'Alexandrie et de sainte Marguerite d'Antioche. Celles-ci lui annoncent qu'elle devra délivrer Orléans et faire sacrer le dauphin Charles VII. Ayant obtenu quatre ans plus tard une petite troupe du capitaine de Vaucouleurs, Jehanne commence alors sa célèbre épopée…
Référence : L909582
Date de parution : 01.04.2020
Poids : 28 Gr.
Nb de Pages : 12
Disponible
Prix : 1,69 €
Présentation
L'amour de Dieu est semé dans notre coeur, comme une toute petite graine dans la terre. La petite graine est minuscule, on ne la voit pas. Mais elle grandit et devient un arbre magnifique, un arbre plein de vie.