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votre recherche : salut
L'expérience thérésienne du Christ sauveur
Référence : ELCV_EXPTHERESE
Date de parution : 19.10.2022
Poids : 420 Gr.
Nb de Pages : 328
Disponible
Prix : 23,00 €
Présentation
Ce livre comblera ceux qui cherchent un précis de théologie du salut comme ceux qui veulent découvrir ou approfondir l’esprit du Carmel. Il présente pas à pas l’expérience spirituelle du Christ sauveur chez sainte Thérèse d’Ávila: de haut en bas à partir de la nature divine du Christ, et de bas en haut à partir de sa nature humaine. Le lecteur est immergé dans la vie et les écrits de celle qu’on appelle « La Madre ». C’est en amoureux des grandes figures de son ordre que le Frère Luc-Marie produit un ouvrage original, à la fois profond et accessible. Il démontre la cohérence du système de pensée de Thérèse d’Ávila, mystique inspirante autant que fondatrice pragmatique. Il en propose différents niveaux de lecture, au fil d’un commentaire séquencé, très pédagogique, illustré d’une sélection de plus de 250 petits extraits. On est alors surpris par l’actualité des propos de la sainte, qui nous donne étonnamment à penser pour traverser les vicissitudes d’aujourd’hui et nous reconnecter au sens véritable de notre passage sur Terre.
Référence : ELE_CIEL_PERLE
Date de parution : 24.09.2024
Poids : 150 Gr.
Nb de Pages : 128
Disponible
Prix : 13,50 €
Présentation
Les couples n’ont pas à redouter les crises, au contraire! C’est normal et salutaire: armés de ce petit guide détaillé et efficace, ils seront à même d’en comprendre les mécanismes, de les dépasser, puis de recueillir « la perle née de leur blessure » (Pape François). Plein d’espérance et enthousiasmant.
Dans une première partie, l’auteur met en avant le côté bénéfique des crises, comme en témoignent de nombreux exemples dans la Bible et des vies de saints. Il détaille ensuite toutes les tactiques du diable pour mettre le couple à l’épreuve, tout en proposant des parades à ces tentations. Est déployé ensuite un tableau des différents âges de l’amour, montrant les modes de croissance du couple, qui mêlent étroitement le psychologique et le spirituel. En fin d’ouvrage, une bibliographie et une filmographie permettent avantageusement de poursuivre la réflexion.
Ecoutez "les biensfait des crises dans le couple"
Référence : ELRC_ASSOMP
Date de parution : 26.05.2021
Poids : 399 Gr.
Nb de Pages : 286
Disponible
Prix : 20,00 €
Présentation
Dans un monde où la vérité sur l’homme, sa vocation et sa destinée, est profondément obscurcie, ce livre témoigne du caractère providentiel de la proclamation du dogme de l’ Assomption au XXe siècle et de son actualité soixante-dix ans après. À l’heure où l’impératif de « sauver la planète » s’ est massivement substitué à celui de « sauver son âme », le mystère de l’ Assomption résonne comme la bonne nouvelle du salut intégral de la personne, corps et âme, jusque dans la résurrection de la chair. À l’heure où la mort est niée, hâtée ou banalisée, où le transhumanisme poursuit la chimère d’une vie immortelle sur la terre, l’ Assomption proclame que la mort n’ est pas la fin mais un passage vers la Vie, proposé à notre liberté. Elle resplendit comme promesse de vie éternelle. À l’heure où la dignité et la spécificité de l’ être humain sont remises en question, l’ Assomption manifeste que Dieu aime tout homme de façon unique. En contemplant ce mystère à travers la pensée de Joseph Ratzinger/Benoît XVI, l’ auteur étudie les enjeux anthropologiques et eschatologiques du dogme. Elle nous fait redécouvrir alors à quel point la théologie mariale se trouve au cœur des mystères de la foi chrétienne, et met en relief l’unité, l’harmonie et la beauté du dessein divin sur l’homme.
Référence : EL_RET_BOSSUET
Date de parution : 22.05.2024
Poids : 240 Gr.
Nb de Pages : 192
Disponible
Prix : 16,90 €
Présentation
Célèbre pour ses sermons et ses oraisons funèbres devant les Grands de la Cour, Mgr Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704) est aussi un auteur spirituel, voire mystique, méconnu. Ses Élévations sur les mystères et ses Méditations sur l’Évangile, fruits de la sagesse du vieil évêque, sont pourtant l’occasion de riches méditations spirituelles où le désir de Dieu se trouve verbalisé et comme dilaté. La ferveur s’y allie à l’intelligence pour dégager la cohérence des saintes Écritures. Orchestrés ici pour accompagner cinq jours de retraite, ses extraits les plus beaux guident le lecteur du néant de la gloire humaine vers la grandeur du salut ; ils soulignent avec finesse comment Dieu s’approche des âmes dont il désire être aimé. Il les attire à lui tout en s’en retirant, pour mieux susciter une recherche ardente. Ces pages aident le fidèle à s’enraciner en Dieu par une prière confiante afin de demander la grâce d’aimer comme le Christ.
recension juillet 2025 de Sébastien Lapaque
"On reconnaît le savant de grand style à sa capacité à parler simplement de ses sujets de recherches érudites. Voyez Agnès Lachaume, auteure d'une thèse de doctorat intitulée "Le Langage du désir chez Bossuet", soutenue en 2014. Dans Avec Bossuet, chercher à vivre la Parole de Dieu, cette professeure dotée de l'art précieux de transmettre promène ses lecteurs dans des pages méconnues de l’œuvre de l'évêque de Meaux comme dans un jardin à la française"
p. 432 : "Les anges, les prophéties, la Trinité, le péché originel : avec Pascal, Bossuet aime sonder ces mystères qui nous sont moins incompréhensibles que nous ne serions incompréhensibles sans eux".
A écouter les émissions sur RADIO PRÉSENCE TOULOUSE : (cliquez sur ces liens)
Avec Bossuet chercher à vivre la parole de Dieu (Volet 1) - Radio Présence
Rappelle-toi que tu es mortel (Volet 2) - Radio Présence
Ordonnance médicale de Bossuet (Volet 3) - Radio Présence
Attirer Dieu en son âme par le silence avec Bossuet (Volet 4) - Radio Présence
Avancer malgré votre imperfection (Volet 5) - Radio Présence
Référence : ELTV_FASCINE
Date de parution : 24.04.2024
Poids : 1000 Gr.
Nb de Pages : 830
Disponible
Prix : 27,00 €
Présentation
L’Âme sainte de Jésus: bien peu de chrétiens la connaissent comme sujet de contemplation. Le récit de cette vie mystique cachée mais riche, ancrée dans son siècle, révèle un amour brûlant pour l’humanité de Christ, et plus particulièrement pour son Âme.
https://fr.aleteia.org/2024/05/03/marie-aimee-de-jesus-lhumble-carmelite-qui-osa-repondre-a-ernest-renan/
SŒUR MARIE-AIMÉE DE JÉSUS, Fascinée par l’Âme sainte de Jésus (Témoins de vie), Toulouse, Éditions du Carmel, 2024, 830 p. Il y a cent cinquante ans, le 4 mai 1874, mourait sœur Marie-Aimée de Jésus, une humble carmélite qui osa répondre à Ernest Renan sur sa négation de la divinité de Jésus. Sa voie mystique prépara la doctrine de Thérèse de Lisieux, et ses méditations sur l’âme du Christ inspirèrent l’œuvre anthropologique d’une autre carmélite célèbre : Édith Stein. Qui ne connaît la prière de saint Ignace de Loyola Âme du Christ ? Pourtant les chrétiens considèrent rarement le fait que le Christ a une âme, de même que les hommes de notre temps pensent peu à leur âme. Or le Christ, vrai Dieu et vrai homme, a une âme humaine comme chacun de nous. Une hérésie des premiers siècles appelée « apollinarisme » fut condamnée, car son propagateur, Apollinaire de Laodicée, prétendait que le corps du Christ était animé par le Verbe lui- même et donc que le Christ n’avait pas d’âme. Il importe au contraire de tenir que Jésus-Christ est pleinement homme, corps et âme unis, mais que son âme ne fut jamais atteinte en quoi que ce soit par le péché originel. Tout en elle était ordonné, pacifié ; jamais une passion, que ce soit l’émerveillement ou la tristesse, ne dépassait en lui la mesure. Sa colère même, au Temple, fut totalement contenue par sa volonté. Autant dire que tenter un discours sur l’âme du Christ IV. Du XVIe siècle à nos jours 333 est délicat. C’est à cette méditation que s’essaiera une humble carmélite, sœur Marie-Aimée de Jésus (1839-1874). Dorothée Quoniam n’avait pas fait d’études. Née à Rozel près de Cherbourg en Normandie en 1839, elle avait suivi sa famille dans l’exode rural qui l’amena dans la capitale. Dans son Autobiographie, elle rapporte l’un des premiers mots qui la frappèrent quand elle n’avait que 4 ans. Elle entendit sa mère prononcer le nom du Très Haut : « Un jour, je fus vivement frappée d’un nom dont elle l’appe- lait et qui lui convient si bien, le Très-Haut ! L’entretien fini, je me retirai à l’écart pour le méditer à souhait. Le Très-haut, répétais-je en regardant le ciel, le Très-haut ! Puis abaissant les yeux sur moi-même : que je suis petite, me disais- je. Mon Dieu posait en moi la base de ses opérations, l’humilité. Le Très-Haut, repris-je, mais cette fois en déployant sous le souffle de l’Esprit Saint les ailes de mon âme, et étant ainsi arrivée à Celui qui m’attirait, le Père, je fus par lui fiancée à son Fils. J’avais environ quatre ans » (ch. 1, p. 4-5). À l’âge de 10 ans, elle perd ses deux parents et est accueillie dans l’orphelinat des Filles de la charité de la paroisse Saint-Roch. C’est là que germe sa vocation de carmélite qui la conduit en 1859 au monastère de l’avenue de Saxe à Paris (à l’emplacement actuel du Bon Conseil), qui est maintenant installé à Créteil. Un oncle aura bien essayé de lui trouver un bon parti, mais l’échec fut cuisant pour le prétendant : « J’avais dix-huit ans et demi : la conversation tomba, évidemment à dessein, sur un sujet qui jusque-là avait été complètement négligé ; on finit par me faire à mots couverts une vraie proposition de mariage. L’inconnu rougit et baissa les yeux, car j’avais répondu par un sourire ironique qui avait atterré les témoins. Qu’était-il arrivé ? Mon divin Fiancé s’était montré aux yeux de mon âme en tant qu’homme dans tout l’éclat de sa jeunesse et de sa virginale beauté. Il s’était placé à côté de son rival, et du regard, oh ! quel regard ! il me dit : compare… Or, la différence était insoutenable… » (ch. 8, p. 173). Au Carmel, durant sa retraite de profession solennelle, le 10 avril 1861, elle reçoit une vision intellectuelle de l’âme du Christ. C’est à partir de ce moment qu’elle en fait l’objet constant de sa méditation. Comme elle le rapporte dans son Autobiographie, elle se sait appelée à « personnifier » cette âme humaine du Fils de Dieu (p. 927), c’est-à-dire à reproduire en elle la vie et les sentiments du Christ. Elle aspire aussi à rappeler aux hommes qu’ils ont une âme (p. 896), ce qui rend son message très actuel. Dans cet amour passionné du Christ et ce souci du salut des âmes, elle accomplit pleinement sa vocation de carmélite. Quand en 1863, elle apprend la publication de la Vie de Jésus d’Ernest Renan, elle n’hésite pas à prendre la plume pour défendre la divinité du Christ et finit par composer un ouvrage en six volumes qu’elle intitule Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Une version remaniée et corrigée de ce dernier sera publiée en 1909 sous le titre Notre Seigneur Jésus-Christ étudié dans le saint évangile, puis rééditée plusieurs fois jusqu’en 1974. En 1870, à son instigation, la communauté prononce un vœu à l’Âme sainte et se voit protégée pendant le siège de Paris et la Commune. En contemplant l’âme de Jésus dans les évangiles, elle va pouvoir enseigner ses sœurs, notamment les novices qui lui sont confiées à la fin de sa vie (1871-1874). Des 334 Bulletin de spiritualité monastique évangiles, elle tire ainsi nombre d’enseignements sur la vie religieuse et la vie chrétienne en général. Sa vie toute simple de moniale est marquée par de nombreuses grâces d’ordre mystique et l’amour passionné du Christ son Époux. Sœur Marie-Aimée est aussi un jalon, au XIXe siècle, qui prépare la doctrine de sainte Thérèse de l’EnfantJésus. Elle laisse plusieurs pages sur le thème de l’enfance spirituelle, qui prendra une grande envergure dans la petite voie thérésienne. Il s’agit de devenir enfants en revivant l’état du Christ enfant : « Ô âmes, c’est la base de notre future grandeur, qui se pose en nous, c’est l’humilité du Christ qui agit en nous, c’est sa petitesse qui nous raccourcit à la taille spirituelle de l’enfant, laissons-lui faire son œuvre si nous voulons entrer dans le royaume des cieux » (Notre Seigneur Jésus Christ étudié dans le saint évangile. Sa vie dans l’âme fidèle, t. V, Vie publique, 2e p., ch. 59). Cet esprit d’enfance conduit à la véritable virilité. Jésus a en effet conservé l’esprit d’enfance à l’âge adulte ; dès lors « [que l’âme] prenne bien garde en avançant dans la virilité de Jésus-Christ de perdre l’esprit de sa sainte enfance ». Sœur Marie-Aimée de Jésus meurt le 4 mai 1874, il y a cent cinquante ans. Elle laisse un beau témoignage de vie carmélitaine par sa fidélité et son zèle à défendre son Époux quand il est attaqué, par sa simplicité et sa ferveur. Elle nous rappelle aujourd’hui encore que nous avons une âme, une âme à sanctifier par l’imitation du Christ et en particulier de son enfance. Frère Yves-Marie Ménage, Aleteia, Paris
Référence : ELVI_PERE
Date de parution : 28.03.2025
Poids : 220 Gr.
Nb de Pages : 192
Disponible
Prix : 22,00 €
Présentation
Nous connaissons la magnifique parabole du fils prodigue, mais l’auteur en prolonge la lecture pour regarder le Père Prodigue qui s’y révèle: prodigue dans son amour fidèle pour nous, dans sa miséricorde infinie. Ce texte nous est montré comme étant la base même de notre foi, soulignant le fondement de notre existence naturelle et spirituelle. Un principe de vie pour nous, enfants de Dieu. L’inépuisable parabole du retour de l’enfant prodigue (Luc, chap. 15) résume à elle seule la nouveauté du Nouveau testament et la rédemption universelle que le Christ Jésus vient apporter à toute l’humanité. Ce texte constitue comme un sommet de la révélation divine, et de la paternité d’un Dieu qui ne cesse de vouloir nous prodiguer son Amour, sa miséricorde infinie. L’auteur en fait la lecture dans une perspective à la fois philosophique, théologique et mystique afin d’en mieux percevoir toute la richesse. La réflexion se déploie en effet sur le double plan de la foi et de l’anthropologie chrétienne, tant cette parabole est une synthèse de l’existence du Dieu biblique et de la relation qu’Il entretient de toute éternité avec les créatures humaines, avec chacun de nous. Nous pénétrons le mystère de l’Alliance, ancienne et nouvelle, don d’Amour donné, librement consenti, accueilli par la grâce. De la théologie? pas tant qu’une méditation pour retrouver avec gratitude la source de notre foi.
Cliquez sur ce lien pour écouter l'émission du Frère Jean-Gabriel au sujet du Père prodigue : Le Père prodigue, fidèle et miséricordieux - Radio Présence
Relue à l’aide de sainte Thérèse de Lisieux, la parabole du fils prodigue (cf. Lc 15, 11-32) nous enseigne que c’est vraiment Dieu qui est en fait le « Père prodigue ». Le père Rueg, carme de Toulouse, vient d’écrire un bel essai sur ce thème, il nous en fait ici une synthèse. par Fr. JEAN-GABRIEL RUEG, OCD «L’enfance spirituelle, c’est la conscience de la gratuité de la rédemption et la recherche de ce don comme gratuit », écrivait André Combes dans son Introduction à la spiritualité de sainte Thérèse de l’Enfant-Jé sus. Cette conscience a en partie motivé l’écri ture de cet ouvrage (1), qui se veut être « une lec ture thérésienne » de la parabole dite « du fils prodigue » dans le chapitre 15 de saint Luc. La conscience claire que tout, dans notre vie chré tienne, relève des libéralités d’un Dieu qui désire nous prodiguer gracieusement ses bienfaits. À commencer par sa création, dont Il est le Prin cipe. Le premier don que Dieu nous fait, c’est en effet « la grâce d’exister ». L’épître aux Romains (4, 17) rappelle que Dieu « appelle à l’existence ce qui n’existe pas », tandis que la métaphysique chrétienne atteste que le don de l’être constitue la première alliance où Dieu se dit. Car nous n’avons été créés, selon saint Jean de la Croix, que par et pour son Amour. La parabole du fils prodigue n’est donc pas à lire « comme une anecdote illustrative, mais comme une véritable fresque de l’histoire de l’humanité dans les heurs et malheurs de son alliance avec Dieu » (préface). Tout commence en effet par « le don de notre être », que Dieu nous fait, gratuitement, qui est marqué dans la parabole par « l’héritage », que le fils cadet vient réclamer à son père. Dans le texte original grec, saint Luc emploie le terme « ousia » pour cette « part d’héritage »; c’est ce même mot qu’emploie la philosophie grecque pour désigner ce qu’est une réalité, on dira une « substance » ou encore « une essence »; plus sim plement: « ce qui est ». Saint Thomas d’Aquin va pousser plus loin la réflexion en disant que toute réalité ontologique tire son existence, non d’elle même, mais de ce Dieu qui se présente à Moïse comme « Celui qui est » (Ex 3, 14): c’est là le seul nom qui n’altère pas son Mystère, mais nous dit qu’Il est la Source de tout ce qui est. Lui seul peut dire: « Je suis », sans aucune limitation d’être… Son Essence, c’est son Existence elle même, dira le Docteur angélique. Notre ousia n’existerait donc pas sans le Dieu créateur, puisque c’est Lui qui nous donne d’être ce que l’on est. En ce sens, on peut dire que « l’existence précède l’essence », une formule fameuse de l’exis tentialisme moderne, mais qu’il faut entendre d’une tout autre manière en philosophie chré tienne. Pour Sartre, je fais ce que je veux de mon existence, sans nulle autre contrainte que celle que fixe ma liberté, seule étoffe de mon être, et qui n’est tributaire ni d’aucun Dieu ni d’aucune nature humaine ou essence… Dans cette attitude, on veut tout tirer à partir de soi-même: on retrouve sans peine l’orgueil du premier péché qui a poussé l’homme à vouloir se suffire à lui-même, tout comme l’enfant prodigue à dilapider son héritage en oubliant son dona teur. Si Dieu nous fait « passer du néant à l’être », c’est pour que nous en disposions librement en harmonie avec son dessein d’amour et de sa gesse. Le Père, avant de pardonner, est celui qui donne sans compter… En son Fils, son Unique Parole, Il nous a tout donné, dira encore Jean de la Croix. Le Christ vient reprendre l’œuvre du Père pour la Lui réordonner. Jésus est le « Vrai fils aîné » de notre parabole: « tout ce qui est à moi est à toi », ce sont tout à la fois les mots du Christ en saint Jean et ceux du père de notre parabole à l’adresse de son fils aîné… Le Christ rend manifeste la tendresse infinie d’un Dieu toujours fidèle à Lui-même, à sa Promesse et à son Alliance. Il nous « prodigue » sans compter son Amour. Ce retour vers le Père ne peut cepen dant se faire sans notre consentement, et im plique notre conversion: « Si vous ne changez pas pour devenir comme les enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux » (Mt 18, 3). Ce pendant, celle-ci relève encore de la miséricorde du Père. Si la Tradition parle de justification in térieure par la foi, c’est que cette vertu nous rend capables d’être transformés en Dieu par l’action de Son Esprit, qui, tel le feu, peut transformer toutes choses en lui-même, pour employer une image thérésienne tiré de son Acte d’offrande. Le désir et l’accueil du don Le cœur de l’homme est ainsi appelé à accepter librement le bonheur que Dieu lui offre et qui ne peut être que le fruit de Sa grâce. Le désir et l’ac cueil reconnaissant du don de Dieu seront donc les éléments humains privilégiés du dialogue. En effet, celui qui demande ou désire le salut sauve son âme; et cela vaut pour tous les hommes; il suffit ainsi d’un instant de désir, comme pour le criminel Pranzini, que la prière de Thérèse a sauvé, non de la guillotine, mais de l’impénitence finale et de l’enfer. « La plus grande menace pour l’homme est celui de perdre Dieu », déclarait Be noît XVI. La joie du Père relève de la conscience aiguë de ce risque: « Il fallait se réjouir, car ton frère était perdu, et le voici retrouvé. » Dieu, qui est riche en miséricorde, ne peut laisser l’homme au désespoir de la mort spiri tuelle. Il est le Père prodigue d’un Amour qui ne s’éteint jamais. Non seulement il pardonne, mais il se donne lui-même sans retour. La Petite Thé rèse est un témoin sûr de sa miséricorde. Elle a compris que toute notre vie dépendait de ce Père des Lumières de qui vient tout don parfait. Et que le seul chemin pour retourner vers Lui était de recevoir de Lui tout ce qui nous est nécessaire pour vivre. Comme des enfants… Pour cela, il nous faut entrer en nous-mêmes, dans cette vie spirituelle où il s’agit de demeurer avec le Christ, à l’instar du fils cadet de notre parabole, pour y percevoir la présence de ce « Père prodigue », qui n’a cessé de manifester Son Amour tout au long de son Alliance, et reste fidèle à l’éternel dessein de Sa providence et de Sa grâce. J.-G. R. ______________________________________________________________________
Bulletin de spiritualité monastique La parabole du fils prodigue nous fait comprendre comment Dieu, créateur de toute chose, est à la recherche de l’homme. J’ai lu Le Père prodigue, un petit essai thérésien qui apporte un éclairage nouveau sur la plus fameuse des paraboles de l’Évangile. Il existe des phrases qui en un instant nous transportent dans un univers plus vaste que le nôtre. Voici Jésus assis face à des pharisiens agités. Tout le monde parle en même temps, tout le monde veut argumenter. On se coupe la parole. On hausse le ton. Alors Jésus, les yeux baissés, murmure : « Un homme avait deux fils… » L’auditoire intrigué se tait. Et Jésus énonce à mi-voix les mots ineffaçables que depuis vingt siècles nous ne cessons de relire et de méditer : « Le plus jeune dit à son père : donne-moi la part d’héritage qui me revient. Et le père leur partagea ses biens » (Lc 15, 12). Ces mots ordinaires, sans le moindre adjectif, introduisent la plus belle page de la littérature mondiale. La parabole du fils prodigue fait du charpentier de Nazareth le plus grand écrivain parmi les enfants des hommes. Mais cela finalement n’est pas très important en comparaison de l’essentiel, qui est que cette allégorie improvisée devant des pharisiens acrimonieux, subtile dans sa psychologie et magnifique dans sa composition, nous éclaire sur le mystère de l’être et de la rédemption. Elle dit tout de notre condition de créatures sauvées par un Dieu d’amour. Notre condition de créatures sauvées par un Dieu d’amour est précisément au cœur de l’essai que frère Jean-Gabriel Rueg, prieur du couvent des carmes de Toulouse, vient de publier aux éditions du Carmel. Ce petit livre dense propose « une lecture thérésienne de la parabole du fils prodigue ». Derrière un titre paradoxal, Le Père prodigue, frère Jean-Gabriel offre une réflexion savante mais non pas absconse sur le mystère de l’être et le mystère de Dieu. La parabole du fils prodigue nous fait comprendre comment Dieu, créateur de toute chose, est à la recherche de l’homme. Il est le Père prodigue qui, au-delà de tous nos refus, destine sa création au bonheur. Il est le Père patient par qui tout est grâce. Il nous suffit, chose terriblement simple, de lui dire oui. Le texte, précédé d’une préface lumineuse de Mgr Jean-Pierre Batut, évêque auxiliaire de Toulouse, apporte un éclairage nouveau sur la plus fameuse des paraboles de l’Évangile, celle qui a inspiré tant d’artistes et de saints. Le livre fourmille de références, depuis les philosophes grecs jusqu’au théologien Ratzinger. Il ne nous épargne aucun effort. Il est assurément un livre à lire crayon à la main, tant il est riche. Il est exigeant. Pour un peu, l’ouvrage finirait par faire de nous, simples lecteurs, de vrais métaphysiciens. À un certain moment, m’est venue cette image : un jeune lecteur aborde le Christ. Il se jette à ses pieds et lui demande : « Bon maître, que dois-je faire pour être un bon théologien ? – Tu le sais, répond Jésus : n’oublie pas de prier et pense à relire Bergson et Maritain. – Bergson et Maritain, je les ai lus depuis ma jeunesse, dit le lecteur. – Une seule chose te manque : vends tes livres, résilie tes abonnements en ligne et donne l’argent au Secours catholique. Puis viens et suis-moi ». Alors le jeune lecteur s’en alla tout triste, car il possédait une vaste bibliothèque. Comme il est difficile à un théologien d’entrer dans le royaume de Dieu ! Je n’insiste pas. Le livre de Jean-Gabriel Rueg tient dans une poche de pantalon et il nous affermit dans notre foi : on peut suivre le Christ sans le quitter. Xavier Patier, Toulouse._________________________________________________________
REVUE NOVA & VETERA
Fr. Jean-Gabriel RUEG, O.C.D., Le Père prodigue, Dieu toujours fidèle, Une lecture théré-sienne de la parabole du fils prodigue, Vie intérieure 31, Éd. du Carmel, Toulouse, 2025, 188 p.
Le titre de l’ouvrage ne peut manquer d’interpeller le lecteur. Attribuer au père de la parabole évangélique le qualificatif du fils prévaricateur, c’est remonter à la source même de l’histoire du salut et en offrir une clé herméneutique. En effet, pour comprendre le dévoiement de la liberté du fils prodigue, il faut d’abord saisir la prodigalité du don du père. Aussi est-ce au prisme de la libéralité de Dieu que le Frère Jean-Gabriel Rueg, prieur du couvent des carmes de Toulouse, ressaisit en une synthèse puissante tout le dessein divin de création, de rédemption et de sanctification des hommes.
Le premier chapitre se présente comme une longue méditation métaphysique sur le don de l’existence, participation à l’être même de Dieu. Cette « grâce d’exister », selon la belle ex-pression de J. Ratzinger (p. 11), constitue la perfection première de toute créature, perfection que celle-ci est incapable de produire par elle-même, mais qu’elle reçoit de Dieu. Le don de l’acte d’être « manifeste la sublime libéralité d’amour de son Généreux Auteur tout autant que la formidable puissance créatrice d’un Amour divin et personnel » (p. 37). Ce prodigieux amour ne s’impose pas à la créature, mais s’offre à son libre acquiescement. C’est le drame du fils cadet de la parabole que de revendiquer pour lui sa part d’héritage (dans le texte grec : ousia, essence ou substance) en s’émancipant de sa dépendance ontologique et filiale, à l’instar de nos premiers parents au jardin d’Éden. Le chapitre 2 nous décrit la spirale destruc-trice du péché, nous rappelant le risque immense de la perdition éternelle. Il doit être lu à la lumière du chapitre suivant, consacré à la conversion, laquelle consiste avant tout à consentir à l’amour. Notre liberté ne s’épanouit que dans le bien, souligne l’A. : « Je suis vraiment libre et je décide de la plénitude de mon existence à partir du moment où je prends la décision d’adhérer au don de la grâce » (p. 80-81). Dès lors que l’âme s’ouvre à cette grâce, elle pro-duit les fruits des vertus théologales. Les chapitres 4 à 6 peuvent être rattachés respectivement à la foi, à la charité et à l’espérance. Par le don de la foi, nous sommes justifiés, c’est-à-dire que nous participons à la justice même de Dieu. Nous ne pouvons que nous disposer à ac-cueillir ce don immérité, si bien que dans cette œuvre de conversion du cœur éclatent tout ensemble la justice et la miséricorde divines – d’où l’image thérésienne de l’ascenseur pour monter jusqu’au ciel (p. 96). Par la charité, nous demeurons en Dieu, lui rendant amour pour amour et portant du fruit pour le salut des âmes. Par l’espérance, enfin, nous sommes préser-vés d’un triple écueil : le naturalisme, la mondanité spirituelle et l’autosuffisance d’un monde émancipé de Dieu, dont l’ultime avatar est le projet prométhéen du transhumanisme. Le der-nier chapitre est une invitation à « entrer en soi-même » pour y expérimenter la présence agis-sante de Dieu, à l’école de saint Thomas d’Aquin et des maîtres du Carmel. L’A. conclut en soulignant, avec celle qu’il se plaît à appeler « le plus jeune Docteur de l’Église », que c’est notre faiblesse reconnue qui attire la miséricorde, la « bienheureuse indigence » de la créature appelant les flots de la « sainte prodigalité divine » (p. 171).
Le présent ouvrage n’offre pas seulement un riche enseignement didactique, il nous presse encore d’entrer dans la voie d’enfance spirituelle. Qu’il nous soit permis de proposer trois étapes, relevées au fil de notre lecture, de cet itinéraire de l’âme : recevoir, consentir, rendre. Explicitons : recevoir d’un Autre l’existence (p. 26), le sens de sa vie (p. 104), l’amour comme un don (p. 106), le mérite (p. 136) ou la contemplation (p. 168) comme une grâce ; consentir au salut (p. 108), à l’amour transformant (p. 122), à l’emprise de l’Esprit (p. 158) ; rendre amour pour amour (p. 125-130), rendre grâce pour tout car en définitive « tout est grâce » (p. 94) : tout vient de Dieu et tout retourne à lui (p. 54). Et puisque « la suprême ac-tion de grâce consiste précisément à recevoir ses grâces » (p. 176), nous voilà entraînés dans le circuit dynamique de l’enfance spirituelle qui se nourrit du va-et-vient entre l’accueil et la gratitude.
De ce livre où se mêlent philosophie et cinéma, théologie et littérature, le lecteur fera son miel selon son inspiration personnelle. En témoignent la préface de Mgr Jean-Pierre Batut et la postface de Michel Nodé-Langlois, l’une et l’autre remarquables. À chacun de s’approprier cette ode à la libéralité de Dieu et d’y trouver un chemin de retour vers le Père prodigue.
Fr. Robert Augé O.S.B.
Référence : EL_VF_LENNUI
Date de parution : 22.06.2022
Poids : 120 Gr.
Nb de Pages : 121
Disponible
Prix : 10,00 €
Présentation
L’homme moderne fuit à tout prix l’ennui ; or, sa face cachée est une fenêtre ouverte sur le Ciel.
L’ennui est une expérience commune qui mérite d’être revisitée dans une perspective chrétienne. L’auteur analyse les aspects les plus classiques de l’ennui pour en comprendre leur sens au-delà des clichés et des appréhensions. Peccamineux ou salutaire? Telle peut être la question centrale. L’ennui peut en effet aller jusqu’à la maladie ou au contraire se révéler un antidote au mal qui est en nous. Il révèle ici sa face cachée, souvent beaucoup plus lumineuse qu’on ne pense. L’ennui ne demande parfois qu’à être accueilli pour se convertir en célébration féconde.
• Un sujet rarement traité • Une vision très incarnée du spirituel • Une approche contemporaine renouvelée • Aide précieuse pour combattre la grisaille
Référence : EL_VF_DON
Date de parution : ---
Poids : 120 Gr.
Nb de Pages : 100
Uniquement en ebook
Prix : 5,00 €
Présentation
" Si quelqu'un a soi, qu'il vienne à moi et qu'il boive, celui qui croit en moi... " (Jn 7, 37) : ces mots de Jésus s'adressent à toute personne de bonne volonté ; ce que le Maître réclame de nous, c'est d'avoir soif de Lui, comme Lui-même a plus encore soif de se donner à nous. C'est donc à la mesure de nos désirs que nous pourrons puiser aux sources vives de notre salut.
Référence : RVC_APR179
Date de parution : 01.05.2023
Poids : 180 Gr.
Nb de Pages : 128
Disponible
Prix : 12,00 €
Présentation
Participer à la Rédemption
La Rédemption : un mystère d’amour à accueillir et à vivre dans la foi Entretien avec fr. François Daguet op
Paroles de Saintes
Notre vulnérabilité, chemin de salut chez Thérèse de Jésus Frère Jean-Alexandre de l’Agneau ocd
Le Bon Dieu trouve-t-il de la joie à voir souffir ses amis ? Réponse de la petite Thérèse et de Céline son exégète Frère Baptiste de l’Assomption ocd
Carmel et fécondité de la Croix La Rédemption dans la vie de sainte Maravillas de Jésus Frère Louise-Marie de Jésus ocd
Paroles de Saints
L’œuvre de la Rédemption chez saint Jean de la Croix Frère Jean-Baptiste de la Sainte Famille ocd
Se laisser sauver par l’Église, sauver l’Église. La participation à l’œuvre de Rédemption avec le bienheureux François Palau Frère Jean-Raphaël de la Croix glorieuse ocd
Paul de la Croix et la nuit rédemptrice Philippe Plet cp
Saint Jean de la Croix : la victime de l’amour Père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus ocd Chronique
Référence : RCA_NDIVERS
Date de parution : ---
Poids : 225 Gr.
Nb de Pages : 128
Disponible
Prix : 10,00 €
Présentation
S'aventurer dans la Parole de Dieu avec Dei Verbum - « Pour la gloire de Dieu et le salut du monde », Vatican II et la liturgie - Le baptisé participe à la royauté du Christ - Dans la lumière de Vatican II, le prêtre de demain, un saint pauvre de coeur - Marie dans la vie et la mission de l'Église - Quelques aspects du renouveau contemporain à la lumière de Vatican II.
Référence : RVF_334
Date de parution : 01.03.2024
Poids : 80 Gr.
Nb de Pages : 80
Disponible
Prix : 8,00 €
Présentation
Que veut dire être sauvé par Jésus ? Quel est le lien entre la prière et le salut ?
Mesurons-nous ce que signifie « être sauvé » ? L’expérience du salut nous est donnée quasi quotidiennement et plus spécialement à certains moments clés de notre vie chrétienne. Il vaut la peine de revisiter cette notion centrale de notre foi. Le visage du Christ se présente à nous de manière nouvelle lorsque nous reconnaissons en Lui notre seul Sauveur. Une catéchèse synthétique sur le salut et ses implications dans notre existence : tel est le propos de ce nouveau numéro
Référence : L906517
Date de parution : 19.02.2018
Poids : 263 Gr.
Nb de Pages : 204
Disponible
Prix : 18,00 €
Présentation
L'initiative du salut revient à Dieu ; y répondre, voila la part qui nous revient. Mais s'engager sur le chemin ne suffit pas. Quel que soit notre état de vie, notre responsabilité est d'entretenir le premier appel. Pourtant l'usure du quotidien, la routine, les difficultés peuvent nous écarter du chemin. Comment avancer ? À l'écoute de la Bible, en s'appuyant sur les textes du bienheureux Marie-Eugène de l'EJ, en particulier sur Je veux voir Dieu.
Référence : L909117
Date de parution : 01.02.2003
Poids : 215 Gr.
Nb de Pages : 156
Disponible
Prix : 14,00 €
Présentation
L’expérience mystique de la Passion du Seigneur est déterminante dans la spiritualité chrétienne. Elle est déterminante pour la transformation de l’âme dans la communion divine, pour l’accroissement du zèle prophétique et apostolique pour le salut du monde.
Référence : L999999
Date de parution : 19.04.2025
Poids : 200 Gr.
Nb de Pages : 147
Disponible
Prix : 18,90 €
Présentation
Après avoir conduit un protégé au paradis, l'ange gardien Élimélek reçoit une nouvelle mission : guider trois autres anges chargés d'humains aux parcours spirituels difficiles. Parmi eux, un athée convaincu, une religieuse rattrapée par un passé troublé, et une femme pieuse confrontée au scepticisme de son mari. À travers cette structure épistolaire, le roman dévoile les luttes intérieures et spirituelles de ces âmes, aidées par leurs anges gardiens, en pleine guerre contre les ruses du diable. Dans la lignée du Roman des anges, ce récit explore la tactique des anges dans leur combat pour le salut des âmes, tout en respectant la liberté humaine. C'est un regard original sur l'accompagnement céleste au quotidien.
Référence : L920066
Date de parution : 27.09.2024
Poids : 641 Gr.
Nb de Pages : 42
Disponible
Prix : 21,95 €
Présentation
Prières en chansons sonore complète pour prier avec les tout-petits. Livre cartonné !Mes premières prières en chansonsDes images et des chants pleins de joie pour commencer à prier.Avec un bouton on/off pour couper le son quand on emporte le livre à la messe !
Chants : Humblement dans le silence - Signe de croix chanté - Notre Père - Que ma bouche chante ta louange - Le Seigneur est ma lumière et mon salut - Le Cantique des créatures - Laudate Dominum - Kyrie de la messe de l'Emmanuel - Levons les yeux - Viens souffle de Dieu, viens - Ne crains pas - Je veux chanter ton Amour Seigneur - Tu es grand, Dieu saint - Seigneur mon secours - J"ai choisi l'amour du Seigneur dans chaque chose ordinaire - Que vienne ton règne - Esprit de lumière, esprit créateur - Hymne de la Croix - C'est par ta grâce - Jésus, mon Dieu, je t'adore -