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votre recherche : temoin de vie
Anne de Jésus, l'essor du Carmel thérésien
Référence : ELTV_ANNEJESUS
Date de parution : 24.09.2024
Poids : 300 Gr.
Nb de Pages : 188
Provisoirement indisponible
Prix : 23,00 €
Présentation
À l’occasion de sa béatification par le pape François en septembre prochain, voici une biographie exceptionnelle d’Anne de Jésus, fille de prédilection de Thérèse d’Avila et de Jean de la Croix, fondatrice des carmels en Espagne, en France et aux Pays-Bas espagnols. Elle a aussi présidé à l’essor du Carmel thérésien dans ces trois pays. C’est elle qui se manifeste à la petite Thérèse dans le célèbre rêve de mai 1896.
La trajectoire exceptionnelle de Ana de Lobera y Torres (1545-1621) qu’on nous relate ici, documents rares et authentiques à l’appui, en saisira plus d’un. La ronde des carmélites, identifiées par leur nom et leurs charges successives, peut donner le vertige, tant les déplacements géographiques se multiplient, le temps d’une seule génération qu’on doit bien reconnaître comme fondatrice des suivantes, en Espagne, en France et en Belgique. D’autres protagonistes sont là aussi, souvent très célèbres, mais les relations soutenues qu’Anne de Jésus entretient avec eux sont encore peu de chose en regard de son dialogue brûlant avec le Seigneur de sa vie. C’est un des mérites de ces pages de nous les faire deviner.
- Béatifiée par le pape François en septembre 2024 lors de son voyage à Bruxelles- Préface de Bernard Hours (Professeur d’histoire moderne de l’Université de Lyon)- Biographie par l’une des plus grandes spécialistes d’Anne de Jésus- Carmélite célèbre qui se manifeste à la petite Thérèse dans un songe de mai 1896.
L’essor du Carmel thérésien
Agrémentée d’un cahier reproduisant de superbes peintures, fondée sur des archives souvent totalement inédites, cette vie d’Ana de Lobera (1545-1621) écrite au Carmel de Bruxelles où repose son corps, montre pour la première fois les arcanes de l’essor du Carmel thérésien, d’abord en Espagne (Grenade, Madrid), puis en France (Paris, Pontoise, Dijon) et, enfin, dans les Pays-Bas espagnols (Bruxelles et 13 autres villes, entre 1607 et 1621). La prieure luxembourgeoise d’aujourd’hui, membre du conseil de rédaction de notre revue, rend là un témoignage insigne à son illustre fondatrice espagnole, dont la béatification vient enfin d’être proclamée par le Pape François, à Bruxelles même, le 29 septembre 2024. Une foule de personnalités célèbres, dûment identifiées, entrent successivement en scène dans cette incroyable aventure (géographique et intérieure), qui ne cache rien des tensions toujours renouvelées d’Anne de Jésus (là aussi, digne émule de Thérèse) avec ses « supérieurs » français ou romains (une épopée ecclésiale inspirante). L’ouvrage rappelle aussi à quel point nous devons à celle qui reçut le manteau de la Madre (toujours présent au Carmel de Bruxelles), la survie de la Réforme et notre connaissance des publications de Thérèse. Il s’achève sur un portrait original de la personnalité spirituelle de la nouvelle bienheureuse, femme physiquement et spirituellement éprouvée, « figure d’exception qui garde ses aspérités et ses failles » (p. 162), lesquelles nous la rendent si proche. Une chronologie et une bibliographie finissent de faire de ce petit livre un ouvrage de référence.
Référence : ELTV_FASCINE
Date de parution : 24.04.2024
Poids : 1000 Gr.
Nb de Pages : 830
Disponible
Prix : 27,00 €
Présentation
L’Âme sainte de Jésus: bien peu de chrétiens la connaissent comme sujet de contemplation. Le récit de cette vie mystique cachée mais riche, ancrée dans son siècle, révèle un amour brûlant pour l’humanité de Christ, et plus particulièrement pour son Âme.
https://fr.aleteia.org/2024/05/03/marie-aimee-de-jesus-lhumble-carmelite-qui-osa-repondre-a-ernest-renan/
SŒUR MARIE-AIMÉE DE JÉSUS, Fascinée par l’Âme sainte de Jésus (Témoins de vie), Toulouse, Éditions du Carmel, 2024, 830 p. Il y a cent cinquante ans, le 4 mai 1874, mourait sœur Marie-Aimée de Jésus, une humble carmélite qui osa répondre à Ernest Renan sur sa négation de la divinité de Jésus. Sa voie mystique prépara la doctrine de Thérèse de Lisieux, et ses méditations sur l’âme du Christ inspirèrent l’œuvre anthropologique d’une autre carmélite célèbre : Édith Stein. Qui ne connaît la prière de saint Ignace de Loyola Âme du Christ ? Pourtant les chrétiens considèrent rarement le fait que le Christ a une âme, de même que les hommes de notre temps pensent peu à leur âme. Or le Christ, vrai Dieu et vrai homme, a une âme humaine comme chacun de nous. Une hérésie des premiers siècles appelée « apollinarisme » fut condamnée, car son propagateur, Apollinaire de Laodicée, prétendait que le corps du Christ était animé par le Verbe lui- même et donc que le Christ n’avait pas d’âme. Il importe au contraire de tenir que Jésus-Christ est pleinement homme, corps et âme unis, mais que son âme ne fut jamais atteinte en quoi que ce soit par le péché originel. Tout en elle était ordonné, pacifié ; jamais une passion, que ce soit l’émerveillement ou la tristesse, ne dépassait en lui la mesure. Sa colère même, au Temple, fut totalement contenue par sa volonté. Autant dire que tenter un discours sur l’âme du Christ IV. Du XVIe siècle à nos jours 333 est délicat. C’est à cette méditation que s’essaiera une humble carmélite, sœur Marie-Aimée de Jésus (1839-1874). Dorothée Quoniam n’avait pas fait d’études. Née à Rozel près de Cherbourg en Normandie en 1839, elle avait suivi sa famille dans l’exode rural qui l’amena dans la capitale. Dans son Autobiographie, elle rapporte l’un des premiers mots qui la frappèrent quand elle n’avait que 4 ans. Elle entendit sa mère prononcer le nom du Très Haut : « Un jour, je fus vivement frappée d’un nom dont elle l’appe- lait et qui lui convient si bien, le Très-Haut ! L’entretien fini, je me retirai à l’écart pour le méditer à souhait. Le Très-haut, répétais-je en regardant le ciel, le Très-haut ! Puis abaissant les yeux sur moi-même : que je suis petite, me disais- je. Mon Dieu posait en moi la base de ses opérations, l’humilité. Le Très-Haut, repris-je, mais cette fois en déployant sous le souffle de l’Esprit Saint les ailes de mon âme, et étant ainsi arrivée à Celui qui m’attirait, le Père, je fus par lui fiancée à son Fils. J’avais environ quatre ans » (ch. 1, p. 4-5). À l’âge de 10 ans, elle perd ses deux parents et est accueillie dans l’orphelinat des Filles de la charité de la paroisse Saint-Roch. C’est là que germe sa vocation de carmélite qui la conduit en 1859 au monastère de l’avenue de Saxe à Paris (à l’emplacement actuel du Bon Conseil), qui est maintenant installé à Créteil. Un oncle aura bien essayé de lui trouver un bon parti, mais l’échec fut cuisant pour le prétendant : « J’avais dix-huit ans et demi : la conversation tomba, évidemment à dessein, sur un sujet qui jusque-là avait été complètement négligé ; on finit par me faire à mots couverts une vraie proposition de mariage. L’inconnu rougit et baissa les yeux, car j’avais répondu par un sourire ironique qui avait atterré les témoins. Qu’était-il arrivé ? Mon divin Fiancé s’était montré aux yeux de mon âme en tant qu’homme dans tout l’éclat de sa jeunesse et de sa virginale beauté. Il s’était placé à côté de son rival, et du regard, oh ! quel regard ! il me dit : compare… Or, la différence était insoutenable… » (ch. 8, p. 173). Au Carmel, durant sa retraite de profession solennelle, le 10 avril 1861, elle reçoit une vision intellectuelle de l’âme du Christ. C’est à partir de ce moment qu’elle en fait l’objet constant de sa méditation. Comme elle le rapporte dans son Autobiographie, elle se sait appelée à « personnifier » cette âme humaine du Fils de Dieu (p. 927), c’est-à-dire à reproduire en elle la vie et les sentiments du Christ. Elle aspire aussi à rappeler aux hommes qu’ils ont une âme (p. 896), ce qui rend son message très actuel. Dans cet amour passionné du Christ et ce souci du salut des âmes, elle accomplit pleinement sa vocation de carmélite. Quand en 1863, elle apprend la publication de la Vie de Jésus d’Ernest Renan, elle n’hésite pas à prendre la plume pour défendre la divinité du Christ et finit par composer un ouvrage en six volumes qu’elle intitule Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Une version remaniée et corrigée de ce dernier sera publiée en 1909 sous le titre Notre Seigneur Jésus-Christ étudié dans le saint évangile, puis rééditée plusieurs fois jusqu’en 1974. En 1870, à son instigation, la communauté prononce un vœu à l’Âme sainte et se voit protégée pendant le siège de Paris et la Commune. En contemplant l’âme de Jésus dans les évangiles, elle va pouvoir enseigner ses sœurs, notamment les novices qui lui sont confiées à la fin de sa vie (1871-1874). Des 334 Bulletin de spiritualité monastique évangiles, elle tire ainsi nombre d’enseignements sur la vie religieuse et la vie chrétienne en général. Sa vie toute simple de moniale est marquée par de nombreuses grâces d’ordre mystique et l’amour passionné du Christ son Époux. Sœur Marie-Aimée est aussi un jalon, au XIXe siècle, qui prépare la doctrine de sainte Thérèse de l’EnfantJésus. Elle laisse plusieurs pages sur le thème de l’enfance spirituelle, qui prendra une grande envergure dans la petite voie thérésienne. Il s’agit de devenir enfants en revivant l’état du Christ enfant : « Ô âmes, c’est la base de notre future grandeur, qui se pose en nous, c’est l’humilité du Christ qui agit en nous, c’est sa petitesse qui nous raccourcit à la taille spirituelle de l’enfant, laissons-lui faire son œuvre si nous voulons entrer dans le royaume des cieux » (Notre Seigneur Jésus Christ étudié dans le saint évangile. Sa vie dans l’âme fidèle, t. V, Vie publique, 2e p., ch. 59). Cet esprit d’enfance conduit à la véritable virilité. Jésus a en effet conservé l’esprit d’enfance à l’âge adulte ; dès lors « [que l’âme] prenne bien garde en avançant dans la virilité de Jésus-Christ de perdre l’esprit de sa sainte enfance ». Sœur Marie-Aimée de Jésus meurt le 4 mai 1874, il y a cent cinquante ans. Elle laisse un beau témoignage de vie carmélitaine par sa fidélité et son zèle à défendre son Époux quand il est attaqué, par sa simplicité et sa ferveur. Elle nous rappelle aujourd’hui encore que nous avons une âme, une âme à sanctifier par l’imitation du Christ et en particulier de son enfance. Frère Yves-Marie Ménage, Aleteia, Paris
Référence : ELTV_RUSSIE
Date de parution : 15.02.2001
Poids : 1 Gr.
Nb de Pages : 258
Uniquement en ebook
Prix : 8,00 €
Présentation
Préface de Mgr Dominique Rey
Savez-vous que Thérèse de Lisieux est la patronne de la Russie depuis 1930 ? Savez-vous qu’au début des années 1990, l’idée naquit de faire voyager les reliques de Thérèse – initiative largement reprise depuis – parce que les Russes ne pouvaient se rendre à Lisieux ? C’est ainsi qu’un beau jour de février 1999, le grand reliquaire de Thérèse sortit du carmel pour un périple de quatre mois en Russie et au Kazakhstan, dans des pays aux prises avec mille difficultés. Thérèse fut accueillie avec enthousiasme non seulement par les chrétiens de toutes confessions, mais aussi par les croyants de tout bord, juifs, musulmans ou bouddhistes, apportant à tous un réconfort spirituel toujours, et parfois matériel au milieu de leurs épreuves. C’est cette aventure qui est rapportée ici, par celle qui en fut la principale organisatrice. Les fioretti y abondent, mais aussi les évocations précises des communautés rencontrées et de ce qu’elles ont vécu pendant le communisme. Un témoignage de foi saisissant, où l’on voit le Père, au travers de sa petite fille Thérèse, manifester sa tendresse à tous ceux qui n’ont plus d’espérance.
Référence : ELTV_ANSELME
Date de parution : 15.02.2023
Poids : 290 Gr.
Nb de Pages : 258
Disponible
Prix : 22,00 €
Présentation
Voici le portrait d’un disciple de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus. Né en 1884 et mort en1969, le serviteur de Dieu Anselme Gądek est un exemple de fidélité à sa vocation de carmeet d’amour envers l’Enfant-Jésus. Successivement restaurateur de la province polonaisedes carmes, fondateur de la congrégation des sœurs carmélites de l’Enfant-Jésus, premierrecteur du Collège international des carmes, visiteur apostolique etc. : les lourdes chargesauxquelles il fut livré firent de lui un vrai père pour ceux qui l’approchaient, et un guide surla voie de l’enfance spirituelle.À travers une biographie, un regroupement de lettres et quelques témoignages, cet ouvragerévèle progressivement le visage d’un religieux aux grandes qualités humaines, père aimantpour tous ceux qui l’approchaient, et parvenu à une très grande simplicité. Happé par lemystère de l’Enfant-Jésus, modelé progressivement à sa ressemblance, il put dire à sesproches: « J’ai tâché de m’exercer toute ma vie tout d’abord à l’amour de l’Enfant-Dieu. »
Référence : ELTV_CORR_LEONIE
Date de parution : 01.02.2023
Poids : 842 Gr.
Nb de Pages : 784
Disponible
Prix : 27,00 €
Présentation
Depuis quelques années la notoriété de Léonie Martin, devenue Sœur Françoise-Thérèse à la Visitation de Caen, ne cesse de croître. Les pèlerins se pressent de plus en plus nombreux sur sa tombe pour y demander des grâces et les obtenir. Les biographies publiées depuis celle de Stéphane-Joseph Piat en 1966 brossent le portrait de la sœur de Thérèse de l’Enfant-Jésus et suscitent un indéniable intérêt pour l’enfant atypique de la famille Martin.La Correspondance ouvre la voie à une connaissance plus intime et plus précise de Léonie. Au fil des lettres à ses sœurs, carmélites à Lisieux bientôt rejointes par Céline, à d’autres membres de sa famille ou à quelques amis, le lecteur suit de près l’itinéraire de Léonie, ses échecs, ses premiers pas dans la vie religieuse, ses difficultés, ses souffrances physiques, ses relations avec ses supérieures, ses victoires dans l’acceptation d’elle-même. Tout y est décrit avec pudeur et confiance. Témoin actif des procès de béatification et canonisation de la Petite Thérèse, la correspondance avec Lisieux donne des détails inconnus et particulièrement vivants. Le lecteur se sent comme un membre de la famille à qui on confie des secrets.Mais surtout, dans ces lettres intimes transparaissent la présence de Thérèse de l’Enfant-Jésus, son enseignement, son exemple, son intercession constante. La petite voie que suit Léonie fait d’elle une authentique disciple de Thérèse, ce qu’elle sut harmoniser avec la spiritualité de saint François de Sales qu’elle avait choisie. Pour qualifier sa fille moins douée que les autres, Zélie Martin n’hésitait pas à l’appeler la « pauvre Léonie ». La lecture de cette correspondance montre qu’en réalité Léonie est riche de cette pauvreté évangélique à qui le Christ promet le Royaume. Nouvelle « sainte » de la confiance et de l’impossible, Léonie Martin témoigne de l’incroyable efficacité de la grâce.
Autobiographie de la s½ur et novice de la Petite Thérèse
Référence : ELTV_CELINE
Date de parution : 02.03.2022
Poids : 479 Gr.
Nb de Pages : 484
Disponible
Prix : 20,00 €
Présentation
Pour la première fois, l’autobiographie de Céline Martin, sœur de la petite Thérèse, est publiée. Ce maître ouvrage, agréable à lire, plein d’humour et pétillant de vie, est le complément indispensable à la compréhension de la « petite voie d’enfance spirituelle ». Après un siècle de silence, l’autobiographie de Céline Martin, sœur et novice de la petite Thérèse, est enfin livrée au grand public. Écrite en 1909, à la demande de la prieure du Carmel de Lisieux, ce manuscrit se révèle comme le complément indispensable à la compréhension de la « petite voie » de Thérèse. À tous ceux qui trouvent la doctrine de Thérèse mièvre ou à l’eau de rose, Céline montre que la voie suivie par sa sœur est une route qui, loin d’éteindre nos aspirations humaines, avec ses fibres combatives, artistiques, affectives ou intellectuelles, les épanouit parfaitement. Chez Céline, c’est la dimension humaine de la petite voie qui apparaît. Retrouver la confiance d’un enfant, comme Thérèse l’enseigne, n’est pas une chose simple et évidente. Céline en est l’exemple parfait. Ses résistances et ses difficultés sont le révélateur de nos propres réticences à suivre Thérèse sur le chemin de la sainteté. Première disciple de Thérèse, Céline a reçu d’elle la mission de nous transmettre l’enseignement de sa sœur et de nous le rendre accessible.
Référence : ELTV_CAMILLE
Date de parution : 20.10.2021
Poids : 270 Gr.
Nb de Pages : 362
Disponible
Prix : 18,00 €
Présentation
Ce livre retrace une partie de la correspondance que le Père Henri Caffarel a eu avec Camille C. Jeune femme née athée, Camille se fait baptiser pour épouser un catholique qui tient à se marier à l'Eglise. Cette femme qui depuis sa plus tendre enfance avait fait l'expérience d'une présence aimante en elle, va, lors de son baptême, être entraînée dans "un double courant d'amour", celui du Fils vers le Père. Suivra une période de grâces spirituelles qui sera interrompue lorsqu'elle va faire l'expérience - comme souvent chez les mystiques - de la nuit noire. Une nuit qui durera près de 20 ans...
Ce livre avait été publié en 1982 et c'est ici une réédition 40 ans après...
Référence : ELTV_FACE
Date de parution : 17.02.2021
Poids : 270 Gr.
Nb de Pages : 204
Disponible
Prix : 18,00 €
Présentation
L'auteur retrace sa vie : son enfance dans une famille nombreuse et aimante, sa quête de Dieu, le lent et difficile mûrissement de sa vocation. Dans un style incisif et sans auto-complaisance, elle raconte son cheminement spirituel, sa relation à Dieu dans sa vie intérieure, et dans les relations humaines en communauté. Sa nature hypersensible à l'instar de celle de la Petite Thérèse, doublée d'une fine intelligence psychologique lui a permis, au-delà de sa propre expérience, de guider des âmes dans l'introspection. Ce livre se veut d'ailleurs résolument une aide pour mieux nous connaître nous-mêmes.