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Le 4 février 1922, Henri Grialou est ordonné prêtre :
« Je suis prêtre. Prêtre pour l’éternité ! Cette parole suffit à ma méditation. Je la répète aujourd’hui sans me lasser, y puisant toujours un bonheur nouveau. »
Au Carmel
Entré chez les Carmes à Avon (Fontainebleau) le 24 février 1922, il y reçoit le nom de Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus. Après son noviciat, il participe activement aux prédications entourant la béatification et la canonisation de Thérèse de Lisieux (1923/1925) et la proclamation St Jean de la Croix comme docteur de l’Eglise (1926).
Il se donne pleinement à cet apostolat, contribuant ainsi au renouveau multiforme que connaît l’Eglise en France dans l’entre-deux guerres.
Une vie pour l’Eglise
Sa nomination en 1928 comme prieur du couvent du Petit Castelet (Tarascon) vient interrompre une intense activité. L’année suivante, trois jeunes femmes qui dirigent un cours privé à Marseille viennent prendre conseil sur l’orientation à donner à leur vie. De cette première rencontre va naître quelques années plus tard une nouvelle famille spirituelle : Notre-Dame de Vie.
NOMMÉ PRIEUR À AGEN (1932-1936) et Monte-Carlo (1936-1937), il est ensuite élu membre du Conseil général de l’Ordre à Rome où il réside jusqu’en 1955 (hormis la guerre 1939-1945). Il est plus particulièrement chargé des carmels francophones.
Tout en veillant sur le développement de l’Institut Notre-Dame de Vie, il poursuit ses activités de prédication, qui débouchent sur la rédaction de son maître-ouvrage, Je veux voir Dieu (1948/1951).
A travers ses déplacements en France et ses voyages à l’étranger, le P. Marie-Eugène suit de près les bouleversements de l’après-guerre et les initiatives nouvelles d’apostolat dans l’Eglise.
De retour en France en 1955, il est nommé Provincial (1957-1960 et 1963-1967). Il reçoit avec joie l’enseignement du concile Vatican II, qu’il a à cœur de faire connaître et de mettre en œuvre.
Assumant jusqu’au bout ses charges dans l’Ordre, il entre dans la Vie le lundi de Pâques, 27 mars 1967, jour de la fête qu’il avait établie pour célébrer Notre-Dame de Vie.
pour vous garer : passer le portail et aller jusqu'au parking au pied du Couvent, vous y êtes !
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Auteur : Meres Christiane
Auteur : Meres Christiane
Anne de Jésus, l'essor du Carmel thérésien
Référence : ELTV_ANNEJESUS
Date de parution : 24.09.2024
Poids : 300 Gr.
Nb de Pages : 188
Disponible
Prix : 23,00 €
Présentation
À l’occasion de sa béatification par le pape François en septembre prochain, voici une biographie exceptionnelle d’Anne de Jésus, fille de prédilection de Thérèse d’Avila et de Jean de la Croix, fondatrice des carmels en Espagne, en France et aux Pays-Bas espagnols. Elle a aussi présidé à l’essor du Carmel thérésien dans ces trois pays. C’est elle qui se manifeste à la petite Thérèse dans le célèbre rêve de mai 1896.
La trajectoire exceptionnelle de Ana de Lobera y Torres (1545-1621) qu’on nous relate ici, documents rares et authentiques à l’appui, en saisira plus d’un. La ronde des carmélites, identifiées par leur nom et leurs charges successives, peut donner le vertige, tant les déplacements géographiques se multiplient, le temps d’une seule génération qu’on doit bien reconnaître comme fondatrice des suivantes, en Espagne, en France et en Belgique. D’autres protagonistes sont là aussi, souvent très célèbres, mais les relations soutenues qu’Anne de Jésus entretient avec eux sont encore peu de chose en regard de son dialogue brûlant avec le Seigneur de sa vie. C’est un des mérites de ces pages de nous les faire deviner.
- Béatifiée par le pape François en septembre 2024 lors de son voyage à Bruxelles- Préface de Bernard Hours (Professeur d’histoire moderne de l’Université de Lyon)- Biographie par l’une des plus grandes spécialistes d’Anne de Jésus- Carmélite célèbre qui se manifeste à la petite Thérèse dans un songe de mai 1896.
L’essor du Carmel thérésien
Agrémentée d’un cahier reproduisant de superbes peintures, fondée sur des archives souvent totalement inédites, cette vie d’Ana de Lobera (1545-1621) écrite au Carmel de Bruxelles où repose son corps, montre pour la première fois les arcanes de l’essor du Carmel thérésien, d’abord en Espagne (Grenade, Madrid), puis en France (Paris, Pontoise, Dijon) et, enfin, dans les Pays-Bas espagnols (Bruxelles et 13 autres villes, entre 1607 et 1621). La prieure luxembourgeoise d’aujourd’hui, membre du conseil de rédaction de notre revue, rend là un témoignage insigne à son illustre fondatrice espagnole, dont la béatification vient enfin d’être proclamée par le Pape François, à Bruxelles même, le 29 septembre 2024. Une foule de personnalités célèbres, dûment identifiées, entrent successivement en scène dans cette incroyable aventure (géographique et intérieure), qui ne cache rien des tensions toujours renouvelées d’Anne de Jésus (là aussi, digne émule de Thérèse) avec ses « supérieurs » français ou romains (une épopée ecclésiale inspirante). L’ouvrage rappelle aussi à quel point nous devons à celle qui reçut le manteau de la Madre (toujours présent au Carmel de Bruxelles), la survie de la Réforme et notre connaissance des publications de Thérèse. Il s’achève sur un portrait original de la personnalité spirituelle de la nouvelle bienheureuse, femme physiquement et spirituellement éprouvée, « figure d’exception qui garde ses aspérités et ses failles » (p. 162), lesquelles nous la rendent si proche. Une chronologie et une bibliographie finissent de faire de ce petit livre un ouvrage de référence.
Interview de soeur Christiane Meres en 2024 : https://radiomaria.fr/spiritualite-carmelitaine/
meres, christiane, ocd, Anne de Jésus. L’essor du Carmel theresien, Toulouse: Éditions du Carmel, 2024, 184 pp., 15 x 20 cm.
Revista deEspiritualidad 84 (2025), 147-160 issn: 0034-8147 Este libro vio la luz solo dos meses antes de que falleciera su autora, la carmelita descalza Christiane Meres. Era, en ese momento, priora de la comunidad de Bruselas y archivera de su Federación del Sur de Bélgica. Su amplia preparación y experiencia en ámbitos como la tra ducción o la divulgación espiritual la llevaron a colaborar en distintos foros, habitualmente conectados con el ámbito de la vida contempla tiva y la familia carmelitana. Había trabajado intensamente en las tareas requeridas por la beatificación de Ana de Jesús (29 septiembre 2024), cuyo sepulcro se conserva, precisa mente, en el Carmelo de Bruselas, fundado por ella en 1607. Aunque este libro ha sido pu blicado con motivo de una beati f icación, se distancia del estilo ha giográfico, género muy del gusto del Barroco, empleado para dar a conocer la vida de la madre Ana por quien fuera su primer biógra fo, Ángel Manrique, y que marcó una pauta para los acercamientos posteriores a la Beata. La hermana Christiane presenta un retrato com plejo y multifacético de Ana, mujer de carne y hueso, con sus fortalezas y fragilidades. El libro se abre con un prefacio de Bernard Hours (Profesor de His toria Moderna de la Universidad de Lyon), y, a lo largo de casi doscien tas páginas, condensa la trayecto ria vital de Ana de Jesús, una de las más estrechas colaboradoras de Te resa de Jesús en su obra fundacional y figura clave en la expansión de la Orden del Carmelo descalzo tras la muerte de la Santa. La obra se estructura en tres bloques crono lógicos y geográficos: «En España (1545-1604)», «En Francia (1604 1607)», y «En los Países Bajos españoles (1607-1621)». Tras un capítulo conclusivo titulado, «Mu jer de la aurora», donde se bosqueja el perfil humano y espiritual de la Beata, la obra termina con una cro nología, un resumen de los pasos dados en su largo proceso de bea tificación y una breve bibliografía. El libro se enriquece con dife rentes ilustraciones. A lo largo del mismo, se intercalan, en blanco y negro, mapas, planos y, sobre todo, pinturas de la protagonista. A ello hay que añadir cuatro páginas a color que incluyen una serie de re tratos de Ana de Jesús, la mayoría de la Escuela de Rubens, pertene cientes a una colección privada. A través del análisis de sus cró nicas, cartas, declaraciones, poemas y otros documentos, el texto cons truye un retrato complejo y comple to de la «capitana de las prioras». Profusamente documentada, la obra contiene cerca de trescientas notas a pie de página, donde, además de las referencias bibliográficas nece sarias, se ofrecen frecuentes reseñas biográficas de quienes se van cru zando en la vida de la madre Ana. Estas notas son de gran utilidad para ubicarnos correctamente y evitar confusiones. La propia auto ra, sin embargo, no escapa a ciertos errores, como confundir a alguno de los personajes con sus homó nimos. Así, la Beatriz de Jesús que va a fundar a Granada y Madrid no es Beatriz de Ovalle (Cf. p. 47, 54, error que, sin duda, parte de Fortes y Palmero) sino que es Beatriz de Cepeda y Ocampo. Y el Cristóbal de Lobera con quien Ana se escribe no es su hermano jesuita, sino su pri mo, que ocupó la sede de distintos obispados (Cf. p. 51). Creemos que uno de los ele mentos más valiosos del libro es su modo de situarse ante la prota gonista, combinando cercanía y objetividad. Para la autora, Ana es, ante todo, una mujer fiel al espíritu teresiano, (indoblegable, a pesar de la persecución sufrida), dotada de una gran fortaleza y capacidad de liderazgo, con profunda vida de oración y, a la vez, con enorme capacidad de acción. Se aborda el papel de Ana de Jesús en la defensa de las Constituciones teresianas, su compromiso con la difusión de la obra escrita de Teresa y Juan, sus relaciones con diversas persona lidades de la época (teólogos, no bles, religiosos) y su influencia en la difusión del Carmelo Teresiano a través de las fundaciones. Excelente contribución al co nocimiento de Ana de Jesús, el libro es una lectura valiosa para quienes se interesan por la historia y la espiritualidad carmelita. En un momento en que la historiografía femenina busca rescatar figuras ol vidadas, esta obra resulta especial mente relevante, al reivindicar a Ana de Jesús no solo como colabo radora de santa Teresa, sino como una figura clave en la expansión del Carmelo Teresiano.– María José Pérez gonzález, ocd.